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Ecosia : Le Moteur De Recherch

24 octobre 2008 5 24 /10 /octobre /2008 22:06

Dieux et robots

Emmanuel Grimaud

Prix : 55 euros
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24 octobre 2008 5 24 /10 /octobre /2008 14:38
Pouvoir, c'est devoir

par Jean Blain
Lire, octobre 2008

 Redécouverte de Jean-Marie Guyau, libre penseur des instincts moraux.

Tombé de nos jours dans l'oubli, Jean-Marie Guyau est l'un des philosophes français les plus originaux de la seconde moitié du XIXe siècle et assurément l'un de ceux qui méritent d'être redécouverts. Son Esquisse d'une morale sans obligation ni sanction, parue pour la première fois en 1885 et rééditée aujourd'hui par les soins de Philippe Saltel - qui publie parallèlement une étude sur la philosophie de Jean-Marie Guyau (La puissance de la vie, 424 p., Encre marine, 35 euros) - fut en son temps un livre célèbre qui attira l'attention de lecteurs illustres. Nietzsche, qui lut et annota ce «livre raffiné, mélancoliquement courageux», reconnaissait en «ce brave Guyau» l'un de ces libres penseurs qui avaient compris que les instincts moraux ont leur siège dans la vie et que la fin la plus élevée que nous puissions nous fixer consiste dans le maximum d'expansion de notre puissance vitale. Né en 1854, Jean-Marie Guyau est le fils d'Augustine Tuillerie, auteur du Tour de France par deux enfants, et le beau-fils du philosophe Alfred Fouillée qui contribua à faire connaître sa pensée et son oeuvre après sa mort. Particulièrement brillant et précoce, il n'a pas vingt ans lorsque son premier ouvrage est couronné par l'Académie des sciences morales et politiques. Chargé d'un cours de philosophie au lycée Condorcet, il doit vite renoncer à l'enseignement en raison d'une santé fragile. Il passe dès lors ses hivers à Menton et à Nice et est emporté à trente-trois ans par la tuberculose, laissant derrière lui une dizaine d'ouvrages - dont un recueil de poésie intitulé Vers d'un philosophe, L'irréligion de l'avenir et cette Esquisse d'une morale sans obligation ni sanction qui est son chef-d'oeuvre.

Tout individu s'efforce de persévérer dans son être
Récusant tout à la fois kantisme et utilitarisme, morale du devoir et morale de l'utilité, Guyau nous propose une morale positive fondée sur les faits, laquelle ne peut être à ce titre, estime-t-il, qu'individualiste et «ne doit se préoccuper des destinées de la société qu'en tant qu'elles enveloppent plus ou moins celles de l'individu». Inspiré par l'évolutionnisme de Darwin, il élabore ainsi une morale naturaliste, dont le principe se trouve dans la vie elle-même: «Point de principe surnaturel dans notre morale; c'est de la vie même et de la forme inhérente à la vie que tout dérive.» Les instincts moraux y ont leur source, en deçà de la conscience, car «tout désir conscient a d'abord été un instinct». Empruntant à Spinoza l'idée que tout individu s'efforce de persévérer dans son être, Guyau conçoit la morale comme «la science qui a pour objet tous les moyens de conserver et d'accroître la vie, matérielle et intellectuelle». Les lois suprêmes de la morale se confondent avec les lois les plus profondes de la vie, et ce que l'on appelle habituellement devoir ou obligation n'a en réalité d'autre origine, pour lui, que cette «fécondité morale» en vertu de laquelle «pouvoir agir, c'est devoir agir»: «L'obligation morale, qui a son principe dans le fonctionnement même de la vie, se trouve par là avoir son principe plus avant que la conscience réfléchie, dans les profondeurs obscures et inconscientes de l'être.» On ne dira donc plus, comme chez Kant, «Tu dois, donc tu peux», mais «Je peux, donc je dois».

A rebours des moralistes prétendant «résoudre d'une façon définitive et universelle des problèmes qui peuvent avoir quantité de solutions singulières», la morale de Guyau est sans obligation en ce sens qu'elle n'obéit à aucune loi transcendante et universelle: elle est «anomique» - sans loi - et laisse toute spontanéité à l'individu. Sans obligation, la morale de Guyau est également sans sanction. «Pourquoi, s'interroge-t-il, ce sentiment tenace, ce besoin persistant d'une sanction chez l'être sociable, cette impossibilité psychologique de rester sur l'idée du mal impuni?» Car si la défense sociale, tournée vers la prévention des crimes à venir, est certes légitime, l'idée de sanction ou de réparation des actes passés lui semble en revanche absurde et immorale. D'où un idéal de justice pénale conçu comme «le maximum de défense sociale avec le minimum de souffrance individuelle».

Cette «morale de la vie», dont l'optimisme et le ton un rien désuet peuvent parfois prêter à sourire, est, on le voit, aux antipodes de tout cynisme et de tout égoïsme. Vivre n'est pas seulement, nous rappelle Guyau, accumuler et épargner, c'est aussi dépenser. Autrement dit, l'égoïsme pur n'est qu'une mutilation de soi, tandis que l'altruisme ou l'amour sont la preuve d'une capacité morale supérieure.

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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 18:48
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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 15:58
 
 
© Stone
 
Rencontre avec le philosophe Clément Rosset : « Je suis un chasseur d’illusions »
Pour Clément Rosset, religions et idéologies ne sont que des leurres, destinés à masquer une réalité qui triomphe toujours à la fin. L’auteur de L’École du réel, penseur sans illusions et bon vivant, nous prouve avec humour que l’adéquation au monde tel qu’il est reste le meilleur sésame pour la joie de vivre.
 
omment êtes-vous devenu philosophe ?
Clément Rosset : Moi qui prêche un refus de toute croyance, a fortiori de toute forme de mysticisme, je suis devenu philosophe par mi­racle?! Voici les faits : en septembre 1958 – j’avais 19 ans –, je passais des vacances on ne peut plus banales dans une station balnéaire. Un soir, j’ai ressenti un bonheur incroyable en entendant la mer monter. C’est à cet instant, allez savoir pourquoi, que je me suis mis à penser à la substance de la philosophie tragique, l’objet même de mon premier essai. Le plan intégral était tout fait dans ma tête, je l’ai juste noté avant d’aller me coucher. J’ai rédigé le livre en trois mois, dans un état de joie proprement halluciné. J’ai eu la chance, moi qui ne connaissais personne dans le monde de l’édition et n’étais en aucune manière titillé par le désir d’écrire, d’être immédiatement publié. Voilà comment, en une nuit, je suis devenu philosophe !
Ceux qui ont suivi vos cours sont una­nimes, vous êtes un pédagogue hors pair. Voici un exercice dans vos cordes : expliquez-nous sim­plement les grandes lignes de votre pensée…
Mon point de départ est que le réel est idiot. Attention, l’idiotie n’est pas l’imbécillité mais l’insignifiance, l’absence de signification. Un exemple : ce caillou que vous voyez là répond parfaitement – il ne fait même que ça – au principe d’identité, A égale A. Vous pouvez le torturer, il ne fera rien d’autre que confirmer son identité de caillou. Cette vérité peut devenir insupportable. Je m’explique : si je veux décrire ce caillou, je vais être tenté de le faire rentrer dans une généralité, un concept de caillou. Mais ce caillou, tout banal qu’il soit, est unique, et je vous mets au défi de le décrire complètement dans sa singularité. Il n’existe pas, dans l’univers, deux choses absolument semblables.
Qu’un caillou soit un caillou, ça ne nous gêne pas beaucoup… Qu’est-ce que ça prouve ?
La persistance obstinée du caillou dans son identité minérale ne nous empêche pas de vivre, mais nous pouvons élargir cet exemple à notre refus naturel d’accepter une réalité lorsqu’elle nous dérange. Rien de tel qu’une fable pour remettre les pieds sur terre. Telle celle-ci, venue d’Orient : un matin, le vizir de Bagdad heurte dans un marché une femme au visage blafard. Ils ont tous deux un mou­vement de surprise. Le vizir sait qu’il a rencontré la Mort. Affolé, il accourt au palais et supplie le grand calife : « Puisque la mort me cherche ici, lui dit-il, permets-moi, Seigneur, de me cacher à Samarcande. En me hâtant, j’y serai à la tombée de la nuit ! » Sur quoi, il selle son cheval et file au grand galop.

Plus tard dans la journée, le calife rencontre lui aussi la Mort. « Pourquoi, lui demande-t-il, as-tu effrayé mon vizir, qui est si jeune et bien portant ? » « Je n’ai pas voulu lui faire peur, répond-elle. J’étais juste surprise de le voir ce matin à Bagdad, car j’ai rendez-vous avec lui, ce soir, à Samarcande. » Cette histoire résume bien notre penchant irrésistible à conjurer par tous les moyens ce qui, pourtant, ne va pas manquer d’arriver. Et pas seulement l’inéluctable absolu, notre finitude. Combien de pensées, au cours des siècles, nous ont poussés à agir pour un avenir meilleur, avec les résultats catastrophiques que l’on sait ! Nous avons un arsenal sophistiqué de mécanismes pour mettre notre conscience à l’abri des spectacles indésirables. Quant au réel, nous l’invitons à aller se faire voir ailleurs…
Comment ça, se faire voir ailleurs ?
Dans l’illusion. En substituant au réel un double, plus acceptable, nous effectuons un déplacement propre à nous aveugler. Encore un exemple­, choisi chez Georges Courteline, vous savez, cet auteur de théâtre chez qui les femmes­ crient « Ciel, mon mari ! », avant de cacher leur amant sous le lit… Dans Boubouroche [1893, ndlr], le héros a installé sa maîtresse, Adèle, dans un petit appartement. Un voisin de palier le prévient qu’Adèle reçoit tous les jours un jeune amant qu’elle dissimule dans son placard, dès que son bienfaiteur s’annonce. Fou de colère, Boubouroche débarque par surprise et dé­couvre le jeune homme.

Devant sa rage, Adèle ré­torque, indignée : « Tu ne mérites pas même la très simple explication que j’aurais fournie aussitôt à un autre, s’il eut été moins grossier. Le mieux est de nous quitter ! » Boubouroche, qui, au fond, ne demandait qu’à se jeter dans une issue douillette pour son ego, admet aussitôt sa « bévue » et se confond en excuses. L’histoire, comique et caricaturale, montre bien la structure de l’illusion : faire d’une chose deux, comme le fait le prestidigitateur. Celui-ci, pendant son tour de magie, oriente ailleurs le regard du spectateur, là où, précisément, il ne se passe rien. Exactement comme Adèle : « Il est vrai qu’il y a ici un homme, mais regarde – là où, précisément, il n’y a strictement rien – comme je t’aime ! » Le thème du double est souvent associé à une pathologie – schizophrénie, paranoïa – et autres confins de la normalité. Il n’en est rien. Le thème du double concerne un espace culturel bien plus vaste ! Notamment celui de l’illusion religieuse, ou de la philosophie idéaliste, qui substituent au réel un « autre monde », forcément meilleur…
Vous venez de citer Courteline, mais dans votre œuvre, vous prenez volontiers appui sur Tati ou Tintin… Est-ce bien raisonnable ?
Vous pouvez ajouter à votre liste Samuel Beckett ou Marcel Proust, ça fera plus chic… Plus sérieusement, les œuvres qui manient l’humour ont tout à nous apprendre : elles mettent à nu les mécanismes absurdes qui nous gouvernent et dont nous devons nous garder si nous voulons faire coïncider nos désirs et le réel, ce qui est la définition même de l’allégresse. Ces connais­sances peu académiques n’excluent pas une assez bonne connaissance des philosophes. Mes préférés sont Spinoza, Nietzsche, Pascal et Bergson. J’ai une grande sympathie pour Schopenhauer, un sentiment mitigé pour Freud, capable de fines analyses, mais aussi de théories délirantes, et une aversion pour Kant, pour qui le réel n’est qu’une contrainte inopportune, juste bonne à faire de l’ombre aux beautés de son appareil théorique.
Dernière question, d’ordre purement philosophique : non pas qui êtes-vous, ni où allez-vous, mais, d’où venez-vous ?
D’une mère normande et d’un père dauphinois. Après la Révolution, mes ancêtres paternels étaient si misérables qu’ils sont partis vivre à La Réunion. Mon père a fait des recherches généalogiques, histoire de trouver aux Rosset une lignée illustre. Sa quête a été un véritable Golgotha. Pour peupler l’île, Louis XIV avait ordonné une razzia de dames de petite vertu dans tous les ports de France. Voilà pourquoi nous avons, nous autres Rosset, beaucoup de prostituées comme ancêtres. Et aussi, pour faire bon poids, quelques litres de sang noir, dont je suis bénéficiaire, comme mes quatre frères et sœurs. Cette perte des espérances de mon père, qui aurait tant aimé être ce qu’il n’était pas, n’est sans doute pas pour rien dans ma vocation de chasseur d’illusions…
Ses dates clés
1939 | Naissance à Carteret, dans la Manche.
1960 | Publication de son premier essai, La Philosophie tragique (PUF, réédition PUF, “Quadrige”, 2003).
1961 | Entrée à Normale sup.
1965 | Agrégation de philosophie.
1966-1998 | Tout en publiant une multitude d’essais (plus d’une trentaine), il enseigne la philosophie, d’abord à l’université de Montréal, au Canada, puis à celle de Nice.
2008 | Publication de La Nuit de mai et de L’École du réel (Les Éditions de Minuit).


À lire
L’École du réel de Clément Rosset
S’il ne fallait en lire qu’un, ce serait celui-là ! Cet ouvrage est la mise au point de tous les essais écrits depuis trente ans par le philosophe sur la question du réel et de ses doubles fantomatiques (Les Éditions de Minuit, 470 p., 29 €).

Alain Dreyfus
septembre 2008
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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 11:02
Abu-l-Ala al-Maari : Poète arabe et philosophe (973-1057)
Les gens voudraient qu'un imâm se lêve
Et prenne la parole devant une foule
muette.
Illusion trompeuse-il n'est d'
imâm que la raison,
Notre guide de jou
r comme de nuit.

Peut-être dans les te
mples se trouvent-ils des gens
Qui pr
ocurent la terreur à l'aide de versets,
Comme d'autres dans les tavernes
Proc
urent du plaisir.

Les lois divines ont
semé parmi nous la rancune
Et nous o
nt apporté toutes sortes de malheurs

C
ombien les maîtres sont ignorants,
me s'ils se prétendent
scellés dans leu
r savoir.
La loi de leur époque a été
annulés-
Ah, s'ils pouvaient s'annuler
comme elle !

O monde, je t'abandonne,
car tes habitants
Sont unanimes dans
l'ignorance : le tyran musulman
Et ses
pactisants, celui qui montre ses intentions
Et l'ambitieux qui cache son je
u

La religion-commerce de morts
Pour
cette raison, c'est un objet invendable
Parmi les vivants .

Le livre est dev
enu trompettes des égarés,
Et les vers
ets, mélodies.
Ils en ont joué, puis da
ns leurs infamie,
Les ont agitées comm
e des épées
Sur l'homme paisible qui v
eille
Au clair de lune.

Je ne blâme
pas l'athée,
Mai
s plutôt celui qui, craignant l'enfer,
Persis
te dans sa furie

La raison ne
peut s'étonner des lois,
Qu'
elles soient paiennes, musulmanes,
Juives ou
chrétiennes.

V
os temples et vos bordels se valent.
Loin de
moi, ô genre humain!
Puissé-je reste sous terre et ne pas me lever
Quand D
ieu vous appellera à la résurrection!

Il s'est marié ; et aprés la premiere femme,
Il en
a pris trois.
Il a dit à son épouse:
"Un
quart de ma personne te suffira."
Si elle s'en
accommode,
Il
la gratifiera d'une maigre pitance,
Mais si e
lle se tourne vers un amant,
I
l la lapidera.

F
oi, incroyance, rumeurs colportées,
Coran,
Torah, Evangile
Pr
escrivant leurs lois...
A t
oute génération ses mensonges
Que l'on s'empresse de croire et consigner.
U
ne génération se dinstinguera-t-elle, un jour,
En su
ivant la vérité?

Les H
anafits ont commis des fautes,
Les Naza
réens se sont écartés du droit chemin,
Les Juifs er
rent dans la perplexité
Et les
mages ont été égarés.

Si
le pratiquant vise la duperie
Av
ec sa prière,
C
elui qui la néglige volontairement
Sera plus
proche de Dieu
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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 09:27

Vendredi 24 octobre, à Rimouski
« La recherche phénoménologique selon Heidegger », un séminaire organisé par le Cercle interdisciplinaire de recherches phénoménologiques. Conférencier invité: M. Harold Descheneaux, philosophe. À la salle D-340 de l'UQAR Rimouski, de 9h à midi et de 14h à 17h. Renseignements: Mélanie Belzile, doctorante et assistante de recherche melanie.belzile@uqar.qc.ca .

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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 15:50
Jostein Gaarder
 

Jostein Gaarder, norvégien, est né le 8 août 1952 à Oslo. Philosophe et auteur contemporain, il enseigne la philosophie dans la région de Bergen en Norvège. Il mène de front l'enseignement et l'écriture qui constituent l'essence même de sa vie.

Gaarder s'est donné comme pari de livrer une histoire de la philosophie accessible à tous. Il n'écrit pas vraiment des romans, mais pas non plus de simples documentaires, ses ouvrages demeurent une bonne approche didactique de l'histoire de la philosophie. C'est le pari réussi de l'auteur d'avoir fait, non pas un manuel aride et traditionnel de la philosophie, mais le roman de l'aventure philosophique, vivant et agréable à lire. Il s'amuse à tracer une histoire, loin du cours magistral, à travers la réflexion et l'expérience personnelle de ses héros.

Il tente de combattre cette idéologie qui consiste à juger les gens sur ce qu'ils font plutôt que sur ce qu'ils sont. Il connaît, dans son pays, un succès unanime pour une oeuvre d'une profonde originalité.



Bibliographie
  • Le monde de Sophie, Seuil/points, 2002
  • Maya, Seuil/points, 2001
  • La fille du directeur de cirque, Seuil/points, 2001
  • Dans le miroir obscur, Seuil/points, 1998
  • Le mystère de la patience, Seuil/points, 1999
  • Le petit frère tombé du ciel, Seuil, 1997
  • Vita brevis, Seuil, 1998
  • La belle aux oranges, Seuil/jeunesse, 2003

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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 09:56
Musique classique : Entretiens / Portraits > Portrait ...
20 oct 2008 ... Aurèle Stroë est décédé vendredi 3 octobre à Mannheim, à l’âge de 76 ans. Pour beaucoup, lecteurs de Resmusica, musiciens et compositeurs, ...
www.resmusica.com/article_5873_portrait_compositeur_aurele_stroe_(1932-2008)_l_homme_singulier.html - 50k - En cache - Pages similaires



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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 09:50
Dans notre société saturée d'images et de communication, il est une voix dont la discrétion atteint un tel absolu qu'elle en devient silence : celle des musiciens classiques. (Katia Choquer)

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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 09:33

« L'univers est une énigme : dès que je m'interroge à son sujet, je me sens plus vivant »
Jostein Gaarder

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