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Ecosia : Le Moteur De Recherch

2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 12:25
Un article dans Le monde d'aujourd'hui : "Le Japon à l'heure du savoir partagé". L"article en lui-même est très "rose-bonbon", je vous transmets ces deux extraits :

-A l'université de Shibuya, en revanche, les cours sont gratuits. Cet établissement né en septembre 2006 dissimule un concept nouveau dans l'Archipel. " C'est un moyen d'apprendre ancré dans la communauté et l'environnement local", explique son président Yasuaki Sakyo, 29 ans. Il ne s'agit plus de transmettre un savoir, mais "de le partager". L'université formée sous le statut d'organisation à but non lucratif n'a pas de locaux : "Le campus, c'est la ville." Accessible sans concours d'entrée, elle n'accorde pas de diplôme mais elle "met en relation". Elle contacte des personnes qui vivent ou travaillent à Shibuya, quartier vibrionnant de Tokyo où se côtoient différents univers, de la mode au design, voire l'édition. Elle les invite à partager leur passion ou leur savoir. Puis elle trouve un café, un gymnase, une école, un magasin, un parc...et annonce le cours sur son site. Les leçons, sur des sujets aussi variés que la calligraphie ou l'aromathérapie ont lieu un week-end par mois.

-L'idée de l'université a été évoquée en 2005 par un élu de l'assemblée de l'arrondissement de Shibuya, Ken Hasebe, déjà fondateur de l'association Green Bird pour une meilleur gestion locale des déchets. Il souhaitait créer un mouvement ouvert à tous et axé sur la communauté. "C'était aussi une réaction contre la volonté du gouvernement de réformer l'éducation, se souvient Ryo Imamura, l'un des initiateurs du projet, "son souhait de créer un enseignement plus encadré et axé sur l'Aikokushin, l'amour du pays.". "Comme nous ne pouvions pas faire les cours nous-mêmes, ajoute-t-il, nous avons imaginé de faire appel aux compétences de tous." 
L'université de Shibuya organise des cours pour les enfants. Elle souhaite aussi renforcer les liens entre les habitants et favoriser le sens civique, en incitant notamment les gens à voter.

Bianca - Alias La Fée Rose-Bonbon
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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 11:23
Carl Dreyer comparait le travail du metteur en scène à celui d’une sage-femme, qui, par les petits soins prodigués aux acteurs, facilite l’accouchement, la mise au monde d’un personnage, la figuration sur son visage d’un paysage « qu’on n’est jamais las d’explorer ». C’est la plupart du temps sur le visage de ses actrices qu’il eût motif à s’extasier : nombre de ses films dépeignent une femme qui souffre.
Ainsi la mère de famille du Maître du logis (1925), à la merci d’un despote qui finit par faire amende honorable, ou les prétendues sorcières de Jour de colère (1943), victimes de l’aveuglement meurtrier des hommes qui se transforment en bourreaux en prétendant combattre le mal. Ainsi la fière héroïne de Gertrud (1964), qui ne rencontre au cours de sa vie amoureuse que des hommes indignes de lui donner en retour ce qu’elle-même était prête à leur offrir : le don total de soi. Mais, dit Dreyer, Gertrud est « différente des femmes accablées de mes autres films. C’est une femme libre, pleine de caractère, de principes, de volonté, qui refuse le compromis, une femme supérieure aux hommes qui l’entourent ».
Auteur des copieuses analyses figurant en complément de ce beau coffret, Patrick Zeyen nous immerge dans l’une des œuvres les plus maîtrisées qui soient, l’une des œuvres les plus miraculeuses et parfois les plus incomprises (certains traitèrent Gertrud à sa sortie de « film navrant »).
Parmi ces films, Vampyr (1932) est à part. Adaptée de deux nouvelles de Sheridan Le Fanu, et censurée par la censure berlinoise de l’époque (deux scènes restituées dans le bonus), cette histoire de passions saphiques arbore une esthétique différente, due à une erreur de laboratoire qui condamna la pellicule à être surexposée et voilée, au jeu bizarre de ses comédiens amateurs, aux décors truffés de toiles d’araignées, et à des dialogues réduits au minimum, que leur rareté rend « divinatoires, orphiques ». Un homme s’y promène dans un état d’hébétude, « la » vampire arbore un visage rébarbatif, et la narration elliptique, l’atmosphère romantique et onirique, nous donne, comme aux personnages, le sentiment d’être dans un demi-sommeil, dans « les images sourdes et oppressantes d’un cauchemar » a dit Marcel Carné.
Le caractère grandiose des films de Dreyer tient à sa maîtrise plastique, sa science du Noir et Blanc, ses lumières faisant références aux toiles des grands peintres hollandais du XVIIème, et à son obsession thématique : l’affrontement du clair et de l’obscur chez le même individu, la rigidité hiératique des puritains et des fanatiques, la pureté décelée chez les spirituels mystiques et chez ceux (celles) dont on dénie la différence. Carl Dreyer est un cinéaste chrétien sans complaisance à l’égard de l’église séculière.
Habité par des sceptiques, Ordet (1955) dépeint une petite communauté rurale dans laquelle un certain Johannès, apparent dément, se prend pour le Christ et assène avec une infinie douceur des paraboles qui ne trouvent pas d’écho…jusqu’à ce moment inouï, l’un des plus stupéfiants moments de l’histoire du cinéma : un miracle dont nous voyons l’effet premier sur le visage ébloui d’une gamine qui voit sa mère ressusciter.
Carl Th. Dreyer, Mon métier, un documentaire de Torben Skjodt Jensen sur le cinéaste danois, truffé de témoignages de ses plus proches collaborateurs, auquel s’ajoute des archives filmées, dont un entretien avec Hélène Falconetti, qui incarna sa Passion de Jeanne d’Arc (1928), vient en passionnant complément de ces cinq monuments.
Jean-Luc Douin
1 coffret, 6 dvd, MK2. Sortie : mai 2006
_________________
"Le Royaume du Danemark" : http://www.danemarkculture.net


Les sorcières
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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 16:54
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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 10:49
l'idée philosophe de clément rosset Video
30 avr 2009 ... Watch the l'idée philosophe de clément rosset Video from Dailymotion - most recent videos on Mefeedia.com.


Joie dans ma rivière sauvage !!
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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 16:10
 

   L’indépendance n’équivaudrait pas à l’idée de causa sui, démentie d’ailleurs par la naissance non-choisie et impossible à choisir (le grand drame de la pensée contemporaine), naissance qui situe la volonté dans un monde anarchique, c’est-à-dire sans origine.   
Totalité et infini, Le livre de poche, 1990, p. 247


* ''causa sui'' (''cause de soi'').


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30 avril 2009 4 30 /04 /avril /2009 08:16

Les livres malades sont les derniers à mourir
in La Bartavelle, 1994

Pierre Perrin lit 3 livres de Christian Bobin

L

es livres en bonne santé sont écrits dans le calme. Ils sortent de la conscience de l’écrivain comme le rêve sort d’un sommeil bienheureux. Ce sont des livres pour continuer, simplement continuer à dormir et à écrire en dormant. Les livres malades sont écrits pour interrompre, briser, quitter. Ils gardent en eux quelque chose de cet air abruti que l’on a au réveil. Ils sont écrits dans une matière essentielle d’agonie. Leur auteur y mène un combat avec le monde, avec soi ou pire encore : avec cet affreux mélange de soi et du monde que chacun, passé un certain âge, connaît d’une connaissance intime et malheureuse. Ce combat ne souffre aucun compromis. Son issue est incertaine. Il arrive que les livres malades rendent l’âme, épousent l’abjection contre laquelle ils s’étaient dressés. C’est le cas des livres de Céline qui sont des livres paranoïaques et misanthropes. Les livres malades ne tiennent que par leur fièvre : un rien de fièvre en trop et c’est la mort. Tout est dans la mesure. L’enfance est seule mesure, pour peu qu’on s’en saisisse avec naïveté — naïf étant celui qui vient de naître. Les livres malades sont des livres d’agonie et de naissance. C’est en appuyant leurs phrases sur le sentiment perdu d’enfance qu’ils peuvent aller avec amour dans la rage, avec amour dans la malédiction, avec amour dans l’insulte. En 1939 Bernanos écrit Les Enfants humiliés. C’est un journal et ce n’est pas un journal. C’est la guerre vue du Brésil, la France vue de la forêt, Dieu vu de l’enfance. Écrivant, Bernanos perd ses moyens d’écrire, oublie son métier et laisse filer de ses mains un livre ravaudé, brûlant de fièvre. Il ne se regarde pas écrire. Il est comme un pommier dans le jardin. Le pommier ne se regarde pas comme pommier. Il regarde le ciel, la lumière, les étoiles. Il ressent des alertes à chaque début de printemps et il répond par des fruits aux élancements de la sève. On peut trouver beau un pommier en fleurs, et on peut avoir ce même jugement sur le livre de Bernanos. Mais il faut savoir que la beauté n’est pas le souci de l’arbre, ni de l’écrivain. Elle n’est qu’une conséquence, très secondaire, de la réponse qu’ils ont trouvée à la question posée par la douleur, dans un accès de fièvre. En 1939, le pommier Bernanos donne des pommes acides et vertes. Un peu par amour, un peu par colère — mais c’est peut-être au fond la même chose —, il fait revenir l’enfant qu’il a été, le petit garçon aux jambes grêles et aux yeux ronds. Il le regarde et il lui dit : à toi. A toi de raconter, moi je ne saurai pas, trop avancé dans l’âge et la fatigue, toi tu sauras, tu n’es gâté par rien, tu as toujours mieux parlé que moi, tu as toujours su les choses mieux que moi, si ma vie a quelque noblesse, et elle en a terriblement peu, c’est de toi qu’elle la tient, c’est de ta survivance, allez, travaille. Les livres malades appellent à leur chevet des lecteurs malades. Je ne peux bien parler de ce livre que par égarement. Je lis beaucoup et j’ignore pourquoi. Ce n’est sans doute pas très sain de toujours avaler de l’encre. C’est comme dévaliser le frigo à deux heures du matin — contre l’angoisse, ou par colère. C’est la colère en moi qui a lu Bernanos. Elle est très bonne lectrice. De ce livre, je retiens une phrase et une seule. Elle est à l’imparfait, je la remets comme je l’ai lue, au présent : le monde est au pouvoir de gens qui ne sont pas faits pour le bonheur . Je connais, et vous connaissez comme moi, beaucoup de ces personnes qui ont acheté leur puissance aux dépens de leur joie — et qui nous font ensuite payer le prix de ce marché de dupes. Car c’est un des secrets de la vie : celui qui contraint a commencé par se contraindre. Il y a dans le livre de Bernanos un merveilleux portrait de Hitler en brave homme saisi par le ressentiment au lendemain de la première guerre mondiale, calciné dans la fleur de sa jeunesse par le ressentiment, recuit dans la certitude d’avoir été floué en tant que jeune caporal, en tant que citoyen, en tant que brave homme moyen d’humanité médiocre. Hitler, dit Bernanos, est mort quand il avait vingt ans, car c’est être mort que de piétiner sans relâche dans la même vieille histoire froide. De sa mort est sortie sa puissance. Bernanos écrit contre ces gens-là, contre ces sales bêtes repues de leur bon droit, gavées d’amertume et de ressentiment. Les secrets du monde sont des secrets misérables. Ils se laissent attraper par ce genre d’écriture là, mal habillée, mal polie, souffrante. Le grand secret c’est qu’il n’y a pas d’humanité. Il n’y a qu’un cloaque, qu’un vivier purulent de petits caporaux, de jeunes cadres, de vieux boursiers et de moyenne bourgeoisie tiède et morne. Et puis, bien sûr, il y a les pauvres. Mais ceux-là, personne ne sait en parler, et eux-mêmes n’imaginent pas qu’on puisse dire quelque chose d’eux : la parole, c’est pour les maîtres. Il y aurait de quoi désespérer d’une telle vision si la maladie ne venait pas nous en guérir, la maladie d’un Bernanos à bout d’espoir, l’adrénaline d’un livre fourbu, la fièvre enfantine de l’amour qui revient pour se mettre au travail. Les livres en bonne santé sont des livres de loisir. Les livres malades sont des appels au travail de soi sur soi — et sur le reste. Car le vrai secret est celui-ci : il n’y a pas encore d’humanité. L’humain est ce qui est à venir. Nous partons de bas, de très bas. Nous sommes si bas que nous ne sommes même pas à la hauteur des yeux d’un enfant. Nous savons ce qui nous reste à faire : travailler à rendre vivant ce qui ne l’est pas encore. Mais les choses ne sont pas si simples, nous dira-t-on. Vous ne pouvez pas, comme ça, aussi sommairement, opposer l’enfance et le monde. Tout est bien plus compliqué, il vous manque l’art des nuances qui est l’art adulte par excellence. Les petits morts médiocres qui tiennent le monde, gens d’épargne et de raison, ont toujours prétendu que les choses étaient très compliquées et qu’il fallait beaucoup mûrir avant de les saisir. Ce discours sur la complexité des choses est, il n’y a pas d’autre mot, le discours d’un salaud, de celui qui s’adresse à l’enfant pour lui dire : tais-toi. Tu parles de feu, d’esprit et de révolte, mais tu ne sais pas ce dont tu parles, attends d’être comme nous, et tu pourras parler en connaissance de cause. Ces gens-là auraient fait la leçon même au Christ : c’est charmant, votre histoire, et nous sommes bien prêts d’y croire, nous trouvons même que vous avez de la classe, une belle allure, vraiment, mais, comprenez, tout est plus mélangé que ça : l’amour, oui — mais que faites-vous des caisses de retraites et du contexte économique ? Ah vous avez de la chance de pouvoir rêver, et tenez : c’est d’accord, nous vous suivrons dès que nous aurons mis nos petites affaires en ordre, les enfants élevés et la maison payée. Le malheur, c’est que lorsque les petites affaires sont en ordre, le cœur est au point mort, l’amour n’y entre plus. La beauté du livre de Bernanos, c’est de réveiller, le temps de le lire et un peu plus, l’amour incurable, l’amour malade et niais. C’est écrit en toutes lettres : je n’ai jamais été découragé par la niaiserie, tout ce qu’on écrit de sincère est niais, toute vraie souffrance a ce fond de niaiserie, sinon la douleur des hommes n’aurait plus de poids, elle s’envolerait dans les astres.

Christian BOBIN [article écrit à la demande de Pierre Perrin pour La Bartavelle, décembre 1994]

 
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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 15:32
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 17:52

Conférences exceptionnelles
organisé par

 
Conférence de Stanley Cavell
Stanley Cavell (Harvard University) et Claude Imbert (ENS)

[17 février 2006 à 18h00]

>> enregistrement [précédent|suivant] de Conférences exceptionnelles

Le Département de philosophie et la Passerelle des arts de l’École normale supérieure, avec le concours du CEPPA (université Paris I) et de l’École doctorale SHS de l’université de Picardie Jules Verne, ont reçu Stanley Cavell (Harvard University) autour de son ouvrage Cities of words - Henry James / Max Ophuls.
Dans son dernier livre, Stanley Cavell poursuit un parallèle entre la philosophie et l’œuvre de fiction.
Le perfectionnisme moral émersonien et les Recherches philosophiques de Wittgenstein ouvrent une série de correspondances naguère illustrées par le théâtre shakespearien et le cinéma hollywoodien.
C’est toute l’histoire de la philosophie occidentale qui s’en trouve modifiée, et soudainement réactivée.
En complément de l’exposé, Catherine Axelrad-Bourget questionne Claude Imbert autour de l’oeuvre de Stanley Cavell.

Ressources en ligne [aide technique|droit d’auteur]

Présentation de Stanley Cavell par Claude Imbert

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Exposé de Stanley Cavell (partie 1/3)

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Exposé de Stanley Cavell (partie 2/3)

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Exposé de Stanley Cavell (partie 3/3)

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Compte-rendu (en français) de la rencontre avec Stanley Cavell

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Entretien avec Claude Imbert autour de l’oeuvre de Stanley Cavell

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Entretien avec Claude Imbert autour de l’oeuvre de Stanley Cavell

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Entretien avec Claude Imbert autour de l’oeuvre de Stanley Cavell

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Entretien avec Claude Imbert autour de l’oeuvre de Stanley Cavell

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Entretien avec Claude Imbert autour de l’oeuvre de Stanley Cavell

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Liens pour en savoir plus

Harvard Press : Cities of Words

Département de philosophie de l’ENS

Autres conférences

aucune autre conférence sur les mêmes thèmes

Stanley Cavell

Stanley Cavell (Harvard University)

Claude Imbert

Claude Imbert (ENS)
Professeur au département de philosophie de l’ENS.

Présentation

La conférence que Stanley Cavell a donnée le 17 février 2006 à l’ENS portait essentiellement sur le film de Max Ophuls Lettre d’une Inconnue (1948). Il y développe une réflexion élaborée au cours de sa dernière année d’enseignement à Harvard, dans une série de cours où il associait un classique de la philosophie morale (de Platon et Aristote à Kant, Mill, Emerson, Nietzche, Rawls) ou une œuvre littéraire porteuse d’une signification morale (un texte de James, une pièce de Shakespeare ou d’Ibsen) avec la projection et l’étude d’une comédie ou d’un mélodrame hollywoodien des années 1930-1940. Ces cours forment aujourd’hui les vingt-trois chapitres d’un livre non encore traduit en français, publié par Harvard University Press sous le titre Cities of Words. Dans ce livre, Stanley Cavell associe l’étude de la Lettre d’une Inconnue non pas avec la longue nouvelle de Stephan Zweig (parue en 1922) adaptée par Max Ophuls, mais avec celle d’Henry James intitulée La Bête dans la jungle. Dans sa conférence, conscient de s’adresser à un public moins familier de l’œuvre de James, il a recentré son analyse sur le film de Max Ophuls.

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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 11:51
Le texte en a d'abord été publié en 1970 aux éditions Alber. La traduction française figure dans les Cahiers de l'Herne Martin Heidegger, p.93-97 (1983). ...
www.pileface.com/sollers/article.php3?id_article=663 - 49k - En cache - Pages similaires



Totenauberg
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 11:12
La parenthèse

Durée : 55 minutes

Sous-titrage malentendant (Antiope).

Stéréo

 

Le sujet

Rencontre avec des personnes qui rêvaient de changer de vie et ont choisi de s'offrir une année sabbatique pour apprendre le travail du bois, près d'Avignon.

Des personnes de tous horizons, pilotes, infirmières, coiffeuses ou enseignants, qui rêvaient de changer de vie, ont choisi de s'inscrire dans une école d'ébénisterie située au Thor, un petit village proche d'Avignon. En dix mois, à raison d'un meuble tous les deux mois, les élèves y apprennent le métier avec une pédagogie adaptée à chacun, quelque soit son niveau de connaissance du bois.

Les rediffusions

  • 01:30 - Samedi 02/05

  • France 3


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