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Ecosia : Le Moteur De Recherch

5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 18:21
Encéphi - Kierkegaard
Présentation de la pensée du philosophe danois par Luc Desautels.
www.cvm.qc.ca/encephi/CONTENU/philoso/kierkega.htm
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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 11:56
Merde à l'écologie !
Le Monde - France
... deux romans aux éditions Grasset : "Blouse" (2004), "La Grande Garde" (2007), et d'un essai aux éditions du Regard "Maître Eckhart peint par Van Eyck". ...

 


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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 06:55

Au panthéon nietzschéen, les auteurs français se bousculent. Le philosophe allemand n'a jamais caché sa prédilection. "La France est encore maintenant, assure-t-il dans Par-delà bien et mal, le haut lieu de la civilisation la plus intellectuelle et la plus raffinée d'Europe et la grande école du goût : mais il faut savoir trouver cette France du goût."

Les recherches de Nietzsche l'ont mené vers les moralistes, au nom de la lutte contre le dogmatisme et l'esprit de système. Il raffole de leur légèreté, de leurs traits incisifs, de leur écriture en forme d'aphorismes, dont il est lui-même un redoutable adepte. Il apprécie La Rochefoucauld (1613-1680), La Bruyère (1645-1696), Vauvenargues (1715-1747) et Chamfort (1740-1794) au siècle suivant. En 1878, il dédie Humain, trop humain à Voltaire (1694-1778) : "Un grand seigneur de l'esprit : exactement ce que je suis moi aussi." Il admire aussi Montaigne (1533-1592), et Blaise Pascal (1623-1662), "la victime la plus instructive du christianisme".

 

Au-delà du cercle des penseurs avec lesquels il ressent une affinité, il distingue quelques romanciers au premier rang desquels Stendhal (1783-1842), "inappréciable avec son oeil de psychologue précurseur". Dans Ecce homo, il avoue même, sur le ton de la plaisanterie, une forme de jalousie à l'égard de l'écrivain : "Il m'a ôté de la bouche le meilleur mot d'esprit athée dont j'aurais justement été capable : "La seule excuse de Dieu, c'est qu'il n'existe pas." "

Nietzsche s'est aussi intéressé à quelques-uns de ses contemporains. Il a entretenu une brève correspondance avec Hippolyte Taine (1828-1893), même s'il reproche à l'historien et philosophe français d'avoir été "corrompu par la philosophie allemande", Hegel en particulier. A Paul Bourget (1852-1935) et à ses Essais de psychologie contemporaine, il emprunte le mot si important chez lui de "décadent". En retour, la France ne s'est passionnée pour Nietzsche qu'au xxe siècle. En 1894, précise son premier traducteur, Henri Albert, il est quasi inconnu de ce côté-ci du Rhin.

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3 juillet 2009 5 03 /07 /juillet /2009 16:16
 Pascal Bruckner

Bambi le zombi

Par Pascal Bruckner

On le sait depuis Oscar Wilde et son portrait de Dorian Gray : vieillir est un crime. Mais être un homme ou une femme est également un péché, avoir un corps est une faute, exister, une disgrâce. Michael Jackson est celui qui aura voulu effacer d'un coup les malédictions de l'être humain.

 

 

 

Ce petit garçon noir devenu une femme blanche, cet adulte régressif, atteint du syndrome de Peter Pan, aspira sa vie durant à être un ange, quitte à ressembler à une goule. Il aura travaillé pendant cinquante ans à gommer la double fatalité de l'âge et de la race, au point d'évoquer une créature fantastique entre Bambi et zombi.

 

Dans sa folle tentative de recréation de soi, il a témoigné de la passion contemporaine pour la désincarnation : il a voulu récuser toutes les divisions naturelles ou sociales liées au sexe (illustrant jusqu'à l'ascèse la théorie des genres formulée dans les années 1980) refuser les diktats de l'horloge biologique, s'affranchir du devenir, procéder à une deuxième ou troisième naissance qui ne devrait plus rien aux hasards de la nature.

 

Voyez ses clips : un polymorphisme vertigineux le montre se transformant sous nos yeux en dansant, son visage se mélangeant à celui de tous les autres jusqu'à devenir un loup-garou, une panthère noire, un enfant, un lapin. Il se veut le pont qui rattache les créatures les unes aux autres, confond le règne animal et humain.

 

 

Il voyage aussi dans le temps et l'espace, défie la pesanteur, la chronologie ordinaire. Le kitsch côtoie bientôt le monstrueux; il crée un parc d'attractions pour enfants dans sa propriété, Neverland, fait assaut de mignardises, adopte à partir de 1987 une voix sucrée de petite fille à la Shirley Temple. Mais le conte de fées tourne au cauchemar : une photo terrible le montre choisissant une prothèse nasale alors que son nez s'est désintégré sous le bistouri de trop de charlatans, laissant un trou au milieu du visage. Entre le chérubin et le poupon s'est glissé un troisième personnage : le mort-vivant.

 

Cette prodigieuse icône androgyne aura voulu accomplir sur lui-même les promesses du paradis, devenir un corps glorieux et incorruptible, d'après le Jugement dernier. Rencontre sur la scène pop de Frankenstein et de saint Paul. C'est pourquoi sa carrière chirurgicale est aussi passionnante que sa carrière musicale. Artiste de soi même, Michael Jackson est notre dernier martyr chrétien.

 

P.B.*

 

Michael Jackson sur BibliObs

 

La mort de Michael Jackson, édition spéciale

 

Toutes les critiques de l'Obs

 

Revenir à la Une de BibliObs.com

 

(*) Pascal Bruckner est l'auteur de nombreux essais et romans,
dont «les Voleurs de beauté», prix Renaudot 1997
.

 

Source: "Le Nouvel Observateur" - 2330 - 02/07/2009.

michael-jackson_0.jpg
©AP/Sipa
Michael Jackson en 2005


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2 juillet 2009 4 02 /07 /juillet /2009 16:47
Sous la direction de Jean-Jacques Kupiec, Olivier Gandrillon, Michel
Morange & Marc Silberstein, Le Hasard au cœur de la cellule.
Probabilités, déterminisme, génétique

Parution : février 2009
194 pages, 15 €
Format : 15 x 21,5
ISBN : 978-2-84950-

207-5
Editions Syllepse, collection Matériologiques

4e de couverture :
Une révolution se produit actuellement en biologie. Les êtres vivants
ne sont pas gouvernés par un programme génétique omnipotent. Il est
maintenant clairement démontré que le hasard se niche au cœur des
organismes, dans le fonctionnement des gènes et des cellules, et y
joue un rôle encore largement sous-exploré. Alors que depuis
l’Antiquité,
la biologie a toujours été dominée par des théories «déterministes »,
voire finalistes, les résultats expérimentaux obtenus ces toutes
dernières années annoncent un changement de perspective radical. La
nouvelle biologie, par son caractère probabiliste, rendra caduque
l’idée même de programme et de déterminisme génétique – conception
communément qualifiée de thèse du « tout génétique » – forgée à la
suite de ce qu’il a été convenu d’appeler le «dogme central de la
biologie moléculaire» (Francis Crick, 1958). Mais, cette nouvelle
biologie ne doit pas être comprise comme une négation des acquis
antérieurs de la biologie moléculaire. Bien au contraire, elle
constitue une extension de la conception physico-chimique du vivant.
Inévitablement, elle aura également de profondes conséquences
philosophiques. En effet, ce n’est pas seulement le finalisme –
religieux ou immanent – qui est de facto évacué, mais c’est encore la
conception cartésienne de l’animal-machine qui doit être abandonnée.
Si l’homme est une machine, il est aussi un homme-aléatoire !
Les principaux aspects, expérimentaux et théoriques, de cette
révolution et les débats philosophiques qu’elle suscite sont exposés
ici par les meilleurs spécialistes, biologistes et philosophes.
La question passionnante qui s’ouvre alors consiste à comprendre
comment, à partir du hasard moléculaire, se construit le vivant.

Table des matières

Introduction ..............................................................................................................
4
Marc Silberstein, Jean-Jacques Kupiec, Olivier Gandrillon
De la nécessité du hasard en biologie

Chapitre 1 ..............................................................................................................
19
Thomas Heams
Expression stochastique des gènes et différenciation cellulaire

Chapitre 2 ..............................................................................................................
43
Thierry Martin
De la diversité des probabilités

Chapitre 3 ..............................................................................................................
59
Antoine Coulon, Guillaume Beslon, François Chatelain, Alexandra Fuchs,
Olivier Gandrillon,
Mathieu Gineste, Jean-Jacques Kupiec, Camila Mejia-Perez, Andras Pàldi
Mécanismes moléculaires et fonction biologique de la variabilité de
l’expression génique à l’échelle de la cellule unique : une approche
systémique

Chapitre 4 ..............................................................................................................
79
Jean Gayon
Déterminisme génétique, déterminisme bernardien, déterminisme laplacien

Chapitre 5 ..............................................................................................................
93
Jérôme Glisse, Laurent Le Guillou, Bertrand Laforge, Jean-Jacques Kupiec
Simulation informatique du modèle darwinien de la différenciation cellulaire

Chapitre 6 ............................................................................................................
127
Jean-Pascal Capp
Le rôle de l’expression aléatoire des gènes dans la cancérogenèse

Chapitre 7 ............................................................................................................
153
Francesca Merlin
Pour une interprétation objective des probabilités dans les modèles
stochastiques de l’expression génétique

Index des noms ...................................................................................................
185
Les auteurs ..........................................................................................................
189

Les auteurs :
Jean-Jacques Kupiec est biologiste moléculaire et épistémologue
(Centre Cavaillès, Ecole normale supérieure, Paris) et vient de
publier L’origine de l’individu (Fayard, 2008). Guillaume Beslon est
bioinformaticien à l’INSA-Lyon. Jean-Pascal Capp est biologiste
moléculaire au CNRS, université de Toulouse 3. François Chatelain est
chimiste (Cytoo SA). Antoine Coulon est bioinformaticien à
l’INSA-Lyon. Alexandra Fuchs est biologiste moléculaire (Cytoo SA).
Olivier Gandrillon est biologiste moléculaire à l’université Lyon 1.
Jean Gayon est historien et philosophe de la biologie à l’université
Paris 1 (IHPST). Mathieu Gineste est biologiste moléculaire à
l’université Lyon 1. Jérôme Glisse est bioinformaticien au Laboratoire
de physique nucléaire et des hautes énergies, université Paris 6.
Thomas Heams est biologiste moléculaire à AgroParisTech. Bertrand
Laforge est physicien au Laboratoire de physique nucléaire et des
hautes énergies, université Paris 6. Laurent Le Guillou est physicien
au Laboratoire de physique nucléaire et des hautes énergies,
université Paris 6. Thierry Martin est philosophe à l’université de
Besançon et à Paris 1 (IHPST). Camila Mejia-Perez est biologiste à
l’université Claude Bernard, Lyon. Francesca Merlin est philosophe de
la biologie à l’université Paris 1 (IHPST). Michel Morange est
biologiste moléculaire et historien de la biologie à l’ENS Paris, et
dirige le Centre Cavaillès de l’Ecole normale supérieure. Andras Paldi
est généticien au Généthon, Evry. Marc Silberstein dirige la
collection « Matériologiques » et participe aux travaux du Centre
Cavaillès de l’Ecole normale supérieure.

 

__._,_.___
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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 17:46

[ INFORMATION TRANSMISE PAR LE GROUPE YAHOO : " SFPHI " ]




Chers collègues,

Permettez-moi de vous signaler la parution du livre suivant :

L'interprétation de la mécanique quantique, une approche pragmatiste

de Manuel Bächtold

aux éditions Hermann, collection « Visions des sciences »

préfacé par Michel Bitbol

Bien cordialement,

Manuel Bächtold

Présentation :

Ce livre débute par une présentation à la fois pédagogique et rigoureuse des bases de la mécanique quantique suivant l'interprétation « standard ». Il expose en détail le fameux « problème de la mesure », examine les stratégies visant à le surmonter et montre que toutes les approches « réalistes » (qui présupposent une correspondance entre la théorie et la réalité en soi) se heurtent à des difficultés persistantes.

Partant de ce constat d'échec, ce livre propose d'adopter une approche alternative de la connaissance, dite « pragmatiste », qui revient à évaluer une théorie à l'aune de la pratique des physiciens en s'abstenant de lui greffer une construction métaphysique sans lien avec l'expérience. La mise en œuvre de cette approche permet d'offrir une interprétation très éclairante de la mécanique quantique, qui dissout le problème de la mesure, sans modifier la théorie et sans générer de nouvelles difficultés.

Ce livre s'adresse aux étudiants et chercheurs en physique, ou à tout lecteur curieux, en quête de clés pour comprendre la mécanique quantique, mais aussi aux philosophes qui s'interrogent sur la possibilité d'une application concrète des diverses conceptions de la connaissance dans le champ des sciences.

Sommaire :

Préface de Michel Bitbol

Introduction

Chap. 1 – Le réalisme scientifique face au problème de la mesure

1.1    Introduction

1.2    Le réalisme scientifique et la description classique du monde

1.3    L'interprétation standard de la mécanique quantique

1.4    La description quantique de la mesure

1.5    La théorie de la décohérence

1.6    La théorie de l'onde pilote

1.7    La théorie de la localisation spontanée

1.8    Les interprétations modales

1.9    Les mondes multiples et les esprits multiples

1.10  Conclusion

Chap. 2 – Vers une conception pragmatiste de la connaissance

2.1    Introduction

2.2    Resituer la connaissance dans la pratique

2.3    Le rôle des moyens de connaissance

2.4    Le nouvel expérimentalisme

2.5    Conclusion

Chap. 3 – La contextualité de la mécanique quantique

3.1    Introduction

3.2    Le débat de 1935 entre Bohr et Einstein

3.3    Violation des inégalités de Bell et non-localité

3.4    Les preuves de la contextualité

3.5    Conclusion

Chap. 4 – Une interprétation pragmatiste de la mécanique quantique

4.1   Introduction

4.2   Définitions pragmatiques

4.3   Les fonctions pragmatiques

4.4   Le formalisme des espaces de Hilbert

4.5   Le produit tensoriel

4.6   L'équation de Schrödinger

4.7   L'opérateur densité

4.8   Le postulat de projection

4.9   Le problème de la mesure revisité

4.10 Conclusion

Conclusion

Bibliographie

Table des matières



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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 11:06
leJDD.fr
Les intégristes narguent le Vatican
leJDD.fr - Saint Cloud,Ile de France,France
Ici, l'existentialisme, Husserl, Heidegger, Nietsche et Kant n'ont pas droit de cité. En voie de réhabilitation à Rome, les intégristes comptent désormais ...
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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 18:23
QUI CONNAIT LE LOSANGE DE MICHAELIS ?
Pour tous les esthètes, il mérite bien son nom de "Divin Losange", car il figure ... Le losange de Michaelis permet donc de situer la 5e lombaire et par ...
www.maitrise-orthop.com/viewPage.do?id=933





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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 17:15
La motivation fait partie intégrante et influence la prise de décision. Une étude parue dans Nature neuroscience, coordonnée par Etienne Koechlin, Directeur de l’unité Inserm 960 « Laboratoire de neurosciences cognitives », montre que les facteurs de motivation activent spécifiquement certaines zones du cortex préfrontal, siège des prises de décision, et modulent l’influence relative des différents facteurs cognitifs intervenant dans le processus de décision.  

Faire ses courses, ranger ses affaires, se mettre au travail, chacune de ces taches implique une prise de décision. Pour cela, le cerveau organise deux types de pensées : les connaissances et les motivations propres à chaque individu.  

Tous ces facteurs sont contrôlés au niveau du cortex préfrontal, situé juste derrière le front. Les patients qui présentent une lésion à ce niveau ont par exemple des problèmes à planifier leur vie quotidienne alors que leur mémoire est intacte.  Le cortex préfrontal est divisé en plusieurs zones. La partie latérale est impliquée dans le contrôle cognitif de la décision en adaptant le choix de l’action au contexte dans lequel la personne évolue. La partie médiane est impliquée dans la motivation d’une personne à effectuer ou non l’action en question.

Les auteurs d’une nouvelle étude parue dans Nature neuroscience connaissaient déjà le fonctionnement de la partie cognitive mais ils ne savaient pas comment les motivations influaient sur l’activité de la zone médiane et comment cette activité était intégrée aux processus de décision dans la partie latérale.  

Pour le savoir, les auteurs ont imaginé un système de motivation financière pouvant influer sur la réalisation de tâches demandées à plusieurs personnes. Ils ont enregistré en parallèle leur activité cérébrale par IRM (imagerie par résonance magnétique). Ces personnes voyaient défiler des séries de lettres. En fonction de leurs couleurs, elles devaient appuyer sur des boutons différents.

Pour chaque série réussie, la personne gagnait de l’argent mais pouvait également en perdre en cas d’échec. Certaines séries pouvaient rapporter ou faire perdre de 5 à 200 % de plus que d’autres. Les résultats montrent que plus l’enjeu financier est important, et donc plus la motivation est grande, plus les personnes réfléchissent longtemps avant chaque décision.

En imagerie,cela s’est traduit d’une part, par l’augmentation de l’activité neuronale au niveau du cortex préfrontal médian et d’autre part, par une modulation de l’activation de la zone préfrontale latérale, responsable du contrôle cognitif, et des connections entre ces deux zones du cerveau.  Ces activations prouvent que les facteurs de motivation interagissent avec les facteurs cognitifs lors de la prise de décision.

Ces observations ont de plus permis aux auteurs de montrer que le contrôle de la motivation suit un cheminement parallèle à celui du contrôle cognitif, à savoir des régions postérieures vers les régions antérieures du cortex préfrontal.  

Ce cheminement permettant au cerveau d’intégrer différents facteurs de motivations immédiats ou plus anciens dans les différentes étapes du processus de décision.« Ces résultats montrent que la motivation influence la prise de décision dans le cortex préfrontal de façon subtile. Le facteur motivationnel entre en jeu en modulant l'importance de chacune des décisions intermédiaires qui mènent au choix final.  

Cette étude ouvre des perspectives intéressantes dans l’étude des troubles caractérisés par une absence de motivation à réaliser certaines taches ou activités, notamment les troubles dépressifs », clarifie Etienne Koechlin.  

Ces résultats sont accessibles à l’adresse

http://www.nature.com/neuro/journal/vaop/ncurrent/full/nn.2321.html

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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 16:36
prégnances immanentes Heidegger encore
On ne peut donc pas réfuter Heidegger Mais il ne sadresse quà quelques penseurs alors que Sartre à la fois plus littéraire et libertaire sadresse à tous les ...


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