Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Ecosia : Le Moteur De Recherch

17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 11:31
Les gens ne devraient pas toujours tant réfléchir à ce qu'ils doivent faire, ils devraient plutôt penser à ce qu'ils doivent être. [Maître Eckhart] ...


4343048226_063a825198.jpg
Partager cet article
Repost0
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 11:17
un livre sur BHL censuré? - bridge over troubled water
... la très sévère critique de Jade Lingdard et Xavier Delaporte (le B A BA du BHL à La Découverte), mais aussi Chers imposteurs de Jean Bothorel ou encore Le bluff éthique de Frédéric Schiffter et Un nouveau théologien de DanielBensaïd. ... Je suis soutenu par des philosophes et des intellectuels de tout premier plan qui me disent il faut en finir avec cette imposture de Bernard-Henri Lévy. OB : Êtes-vous soutenu par Botul et ses amis ? DSS : Frédéric Pagès est ...
bridge over troubled water - http://bridge.over-blog.org/
4074847507_1a4d5ea5a1.jpg
Partager cet article
Repost0
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 10:50
 
Hans Magnus Enzensberger
HAMMERSTEIN OU L'INTRANSIGEANCE
DU MONDE ENTIER 400 pages, 64 ill. - 23,50 €
 
« La peur n’est pas une vision du monde ». C’est par ces mots qu’en 1933, Kurt von Hammerstein, chef d’état-major général de la Reichswehr, résolut de tourner le dos à l’Allemagne nouvelle, et à Hitler devenu chancelier. Issu d’une très ancienne lignée d'aristocrates prussiens, Hammerstein méprisa profondément l’hystérie funeste où s’engageait son pays. On voulut ignorer son avertissement, et c’est en vain que le général, de complots en dissidences, tenta de freiner le désastre. Jusqu’à sa mort en 1943, Hammerstein aura préservé son indépendance, raidi dans une intransigeance devenue héroïque. Ses sept enfants eurent eux aussi des destins singuliers, prenant parti, contre tout réflexe de classe, pour la résistance intérieure.
Le livre du grand écrivain allemand Hans Magnus Enzensberger n’est une biographie qu’en apparence. Car il s’agit d’ « une histoire allemande », un récit tissant par mille moyens divers les destins individuels et le devenir collectif. Modeste devant la science historique, Enzensberger a choisi la liberté du narrateur : « même en dérapant à l’écart des faits, on peut tout à fait parvenir à des vues justes ». Et lorsqu’il dialogue avec les morts, Enzensberger en véritable sorcier invoque les esprits.
À travers la multitude de ces vies qui se croisent, s’éveille le fantôme de la catastrophe allemande, révélant la décomposition de la République de Weimar, le passage de la vieille Prusse à l’ordre nouveau, la sournoise complicité de l’Allemagne avec l’Union soviétique, l’échec de la résistance, la folle association de l’idéologie la plus fanatique et du cynisme le plus froid.
C’est parce qu’il a un sens aigu de ce qu’est un destin qu’Enzensberger nous offre ici un grand livre.
 
HAMMERSTEIN OU L'INTRANSIGEANCE. Une histoire allemande [2010], trad. de l'allemand par Bernard Lortholary, 400 pages, 64 ill., 140 x 205 mm. Collection Du monde entier, Gallimard -ess. ISBN 9782070121960.
Parution : 11-02-2010.
 
Partager cet article
Repost0
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 10:42
Hannah Arendt et Martin Heidegger
Hannah Arendt et Martin Heidegger
Hannah Arendt et Martin Heidegger
histoire d'un amour
Grunenberg, Antonia
traduit par : Cédric Cohen-Skalli
Payot , Paris
collection Essais
Parution :  octobre 2009
Ajouter au panier Ajouter a ma selection 27,50 € | Disponible expédié sous 48 heures

Avis des Internautes (0 avis) :

Soyez le premier à donner votre avis.

Résumé

A travers la double biographie de Hannah Arendt et de Martin Heidegger, et l'histoire de leurs relations commencées dans les années 1920, interrompues par l'exil d'Arendt et reprises dans les années 1950, cet essai propose un panorama de la vie intellectuelle du XXe siècle : politique de la révolution et de la catastrophe, nouvelle philosophie, université allemande, Karl Jaspers, Europe...

Quatrième de couverture

Les amants les plus scandaleux du XXe siècle en furent aussi les deux plus importants philosophes. En 1924, Hannah Arendt a dix-huit ans. C'est une jeune étudiante avide de savoir, mince, avec des yeux rayonnants et une intelligence vive comme l'éclair. Elle rencontre Martin Heidegger, trente-quatre ans, marié et père de famille, qui enseigne la philosophie à l'université de Marbourg. De petite taille, maigre et d'allure sportive, introverti, plein de fureur mais aussi d'une surprenante modestie, il attire à son cours les étudiants les plus prometteurs, notamment Hans-Georg Gadamer, Max Horkheimer, Herbert Marcuse, Karl Löwith, Günther Anders, Leo Strauss, Hans Jonas... Comme l'expliquera quarante ans plus tard Hannah Arendt, «la rumeur le disait : la pensée est redevenue vivante, les trésors de la culture qu'on croyait morts reprennent sens. Il y a un maître, il est peut-être possible d'apprendre à penser».

Entre Arendt et Heidegger débute alors une liaison durable et turbulente où l'amour et la philosophie vont s'entre-mêler. Avec en toile de fond un moment dramatique de l'histoire intellectuelle, celui qui, en Allemagne, a vu la pensée «allemande» et la pensée «juive» séparées dans la violence.

Fiche technique
  • Reliure : Broché
  • Page : 491 p
  • Format : 24 x 16 cm
  • Poids : 606.00 g
  • ISBN : 978-2-228-90467-4
  • EAN13 : 9782228904674
Partager cet article
Repost0
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 10:31
Kostas Axelos, l'ami grec - Idée@jour : le quotidien de la vie ...
Le philosophe, traducteur de Martin Heidegger, fit connaître également le livre ... Martin Heidegger,

Questions, traduit de l'allemand par Kostas Axelos, ...
4362049410_a07dd9a609.jpg
Partager cet article
Repost0
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 09:24
DVD : Murnau-Dreyer, dialogue au sommet : LesInrocks.com
PHANTOM de Friedrich-Wilhelm Murnau, avec Alfred Abel, Frida Richard (All., 1922 , 1h59) ; MICHAEL de Carl Theodor Dreyer, avec Benjamin Christensen (All., ...



4114353743_ea9118fbe6.jpg
Partager cet article
Repost0
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 09:24
 



Kant Emmanuel (1724-1804)

- NE RIEN ACCEPTER SANS EXAMEN.
- NE TENIR COMPTE D'AUCUNE AUTORITÉ, QUELLE QU'ELLE SOIT.
- REGARDER TOUT DE SES PROPRES YEUX ET EXAMINER TOUT JUSQU'AU FOND.


(Pensées sur la véritable estimation des forces vivantes)


forest4.jpg

Partager cet article
Repost0
15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 14:56
site || Création littéraire || Récits || Montaigne : Un point dans le temps
Béatrice Commengé vient de publier "Voyager vers des lieux magnifiques" chez Finitude. Voyager vers Trieste, Esna, Kastellorizo, Sigmaringen, voyager vers des noms magnifiques, vers des écrivains dont les mots se confondent avec les lieux, comme le bleu des yeux de Joyce se confond avec la lumière bleue de Trieste. Et rêver encore quelques heures. La revue des ressources vous propose, en écho à cette publication de relire ce texte que nous avions publié en 2003.

J’ouvre le livre et je vois l’homme. L’homme vêtu de noir et de blanc. En bas de soie, été comme hiver. Présent. Dans ses lieux, dans son temps. Conscient d’être là, en ce siècle. Ce siècle "corrompu et ignorant". Ce siècle "débordé" - qui se perd en "écrivaillerie". Ce siècle de guerre civile et de peste. C’est ainsi.

J’ouvre le livre et je vois l’enfant. L’enfant ne parle pas encore la langue de ce siècle. Un savant venu de Germanie s’adresse à l’enfant en latin. Une langue d’un autre lieu, d’un autre temps. La langue écrite dans les livres. L’enfant comprend que l’ailleurs est ici, que l’autrefois est aussi maintenant. Le monde s’agrandit. "Tous les hommes sont ses compatriotes". Tout va bien.

J’ouvre le livre et je vois d’autres livres. Les volumes, sur "cinq degrés", épousent la courbe de la tour. L’homme a quitté sa table et marche, les yeux tournés vers le plafond, où sont gravées, en latin, plus de cinquante-quatre maximes. Mais son regard s’attarde aujourd’hui sur cette poutre, au centre de la pièce, où se dessine un large ruban qui s’enroule comme une vrille et coule comme un fleuve : "SKEPTOMAI ", peut-on lire au milieu. Skeptomai : je pense, je doute, je réfléchis. À trente-huit ans, à la veille des calendes de Mars, l’homme s’est donné un but : "tenir registre de sa vie", sans falsification aucune, et "se bâtir dans la solitude une vie voluptueuse et délicate."

J’ouvre le livre et je vois le ciel par la fenêtre. Je connais la douceur de ce ciel de Guyenne, au printemps. Autour du château, des bois, des vignes, des champs, des vergers. Peu de collines. Vaste horizon. Idéal pour "peindre le passage" du temps sur la pensée. L’homme a compris qu’il ne possèderait jamais autre chose que ce petit morceau de temps.

J’ouvre le livre et je vois la route. L’écrivain est à cheval. Toujours vêtu de noir et de blanc. Il se dirige vers l’Italie. L’homme de la bibliothèque aime aussi le mouvement. Le monde n’est-il pas, en effet, qu’une "branloire pérenne" ? Le voyageur ne "trace aucune ligne certaine, ni droite, ni courbe". Pas de "grandes espérances". Il "se promène pour se promener", sur les chemins, comme dans les livres. Plaisir de la "variété".

J’ouvre le livre et savoure le voyage. Je savoure le fruit exquis d’une "liberté" exercée "journellement". L’homme se garde des opinions, qui "s’entrepoussent suivant le vent". Une seule recette pour le sage : "savoir être à soi". Une seule perfection : "jouir loyalement de son être". Fuir la tristesse comme la peste et vivre de la "seule assistance de personnes saines et gaies". Pourquoi le monde aime-t-il t’en parer la vertu de ce sinistre et "monstrueux ornement" ? Rien de plus gai, de plus "gaillard", de plus "enjoué" que la philosophie.

J’ouvre le livre et retrouve la joie. Mot après mot, je remonte le temps, jusqu’à ce dernier jour de février 1533, où naquit Michel de Montaigne. C’était l’aube d’une ère nouvelle, disait-on. Depuis quelques décennies, l’imprimerie multipliait les livres. Le monde avait découvert l’Amérique et la Terre s’était mise à tourner grâce aux calculs savants d’un Copernic. Face à ce chambardement, il devenait urgent d’en revenir à l’homme et d’"embesogner son jugement" grâce à toutes sortes de bonnes lectures...

ps: Article publié le 5 janvier 2003 dans la revue des ressources.

licdam21.jpg
Partager cet article
Repost0
15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 14:37
De mème qu'il est parfois nécessaire de se taire pour entendre ce que les autres ont à dire , la pensée elle-mème doit faire silence pour pouvoir penser à autre chose qu ' à elle-mème .




Partager cet article
Repost0
8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 18:18

Descriptions du produit

Présentation de l'éditeur
Johann Sebastian Bach (1685-1750) : son nom suscite l'admiration, son art provoque l'émerveillement. Le cantor de Leipzig serait ainsi l'" Homère de la musique ", une " cathédrale éternelle" qui "domine les siècles ", voire, selon le mot célèbre de Cioran, le "cinquième évangéliste". La figure inégalable d'un compositeur tout au service de son art et du Très-Haut. Un miracle, oui, mais aussi un mystère. Son oeuvre, d'une richesse, d'une diversité et d'une ambition inouïes, ne connut pas une grande diffusion à son époque et conserve encore de nombreuses zones d'ombre. Qu'on y songe: une cantate, une seule vraisemblablement, parmi les trois cents composées, fut publiée de son vivant; près d'une centaine seraient perdues ! S'intéresser à Bach, c'est donc, tout d'abord, rechercher la vérité derrière la légende. Les auteurs de ce Tout Bach ont ainsi eu à coeur de revenir aux sources et d'expliquer les contextes. Découvrir et prendre la (dé)mesure de l'auteur de la Passion selon saint Matthieu, c'est également accepter d'explorer un univers aux limites proprement infinies - et l'on ne pense pas seulement à toutes les personnes qu'il a côtoyées, à tous les interprètes, à tous les musiciens, philosophes ou exégètes qui ont contribué à sa fortune posthume. Pour peu que l'on renonce d'emblée à une ambition d'exhaustivité qui tiendrait de la gageure - historiens et musicologues, inlassablement, font état de nouvelles découvertes -, un dictionnaire, dans lequel il est aussi agréable de se perdre que de se retrouver, nous a paru la forme la plus appropriée pour cerner la dimension du mythe comme de l'homme, de l'ouvre comme de sa portée. Cet ouvrage aux quelque 800 notices se veut donc une manière d'état des lieux, une porte d'entrée dans l'univers de Bach et une façon de partager ce qu'il avait de plus précieux, sa joie. - Bertrand Dermoncourt
Biographie de l'auteur
Ce volume comprend des textes de Rinaldo Alessandrini, Stéphane Barsacq, Jérôme Bastianelli, Hadrien France-Lanord, Sylvain Gasser, Jean-Jacques Groleau, Jean-Pierre Jackson, Anne-Sophie Jacouty, Jean-Luc Macia, Christian Makarian, Antoine Mignon, Marguerite Mousset, Timothée Picard, Jean-Baptiste Robin, Christophe Rousset, David Sanson & Stéphan Vincent-Lancrin.

Détails sur le produit

  • Broché: 895 pages
  • Editeur : ROBERT LAFFONT (11 novembre 2009)
  • Collection : Bouquins
  • Langue : Français


3701046098_3e5c0f920b.jpg

Partager cet article
Repost0