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Ecosia : Le Moteur De Recherch

22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 20:21
Le regard du tarsier ....

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22 mars 2008 6 22 /03 /mars /2008 15:51
Contact avec un tarsier des Philippines

Tarsier Teaser

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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 20:20
Médard Boss
Psychanalyse et analytique du Dasein
Vrin, « Bibliothèque des Textes Philosophiques ». 160 p., 13,5 × 21,5 cm. ISBN : 978-2-7116-1949-8.
Psychiatre suisse, Médard Boss (1903-1991) découvre Sein und Zeit au cours de la seconde guerre mondiale alors qu’il est médecin d’une troupe de chasseurs alpins. Il prend conscience de la portée de cet ouvrage du point de vue de la compréhension des troubles dits psychopathologiques, et tente d’élaborer une Daseinsanalyse en un sens médical à partir de la description heideggérienne des structures ontologiques du Dasein.
Dans Psychanalyse et analytique du Dasein (1957), Boss se propose de dégager les principes de la pensée freudienne en vue de déterminer si psychanalyse et Daseinsanalyse ont, comme il l’écrit, « quelque chose à faire l’une avec l’autre et, si oui, ce qu’elles ont à faire ». Pour cet ancien disciple de Freud, il s’agit non de se livrer à un quelconque règlement de compte mais, tout à l’opposé, de reconnaître les mérites et les acquis de la psychanalyse freudienne en dépit de présupposés philosophiques plus que discutables.
Traduction de l’allemand par Philippe Cabestan et Françoise Dastur. Préface de Philippe Cabestan


EDITION VRIN [ A PARAITRE ]



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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 19:46
Étienne Gilson
Introduction à la philosophie chrétienne
Vrin, « Bibliothèque des Textes Philosophiques – Poche ». 210 p., 11 × 18 cm. ISBN : 978-2-7116-1922-1
Ce livre de 1960 n’avait pas été réimprimé. On découvre un essai étincelant du Gilson de la maturité, une dissertation automnale sur les idées chères du grand médiéviste. Celles-ci se présentent sur trois niveaux : la philosophie chrétienne en général, la métaphysique de Thomas d’Aquin et la façon dont Gilson interprète celle-ci.
Gilson qui n’hésite plus à se dire thomiste expose les raisons philosophiques qu’il a de trouver en saint Thomas un maître. Dérangeant autant que lumineux, son texte pose une nouvelle fois les questions de l’être et de l’essence, des fins et des causes, du rapport du Dieu de la philosophie au Dieu de la révélation, de ce Dieu qui s’est nommé lui-même « Celui qui Est », et de la façon novatrice que Thomas a eue d’assumer un dossier traditionnel.
C’est assez dire à quel point cette Introduction est une porte d’entrée à Thomas d’Aquin, à Gilson présentant Thomas et à Gilson lui-même.
Étienne Gilson (1884-1978) enseigne l’histoire de la philosophie à Lille et à Strasbourg avant d’arriver à la Sorbonne en 1921 où vient enfin d’être créé un enseignement d’histoire de la philosophie médiévale. En 1923, il occupe la chaire d’histoire de la philosophie au Collège de France. Il est élu à l’Académie française en 1946.
Présentation de Thierry-Dominique Humbrecht.
GILSON : Introduction à la philosophie chrétienne
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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 17:54
Ma chère petite âme
Ma chère petite âme
lettres de Martin Heidegger à sa femme Elfriede, 1915-1970
Heidegger, Martin
traduit par : Marie-Ange Maillet
Seuil , Paris
collection L'Ordre philosophique
Paru en Octobre 2007
  25,00 € | Disponible expédié sous 48 heures
Fiche technique
  • Reliure : Broché
  • Page : 524 p
  • Format : 22 x 15 cm
  • Poids : 670.00 g
  • ISBN : 978-2-02-086261-5
  • EAN13 : 9782020862615
Résumé

Recueil de lettres de Heidegger à sa femme qui témoignent des relations entre les deux époux, de la carrière universitaire du philosophe, de la constitution de son oeuvre et de l'évolution des rapports avec Husserl, Jaspers, Cassirer...

Quatrième de couverture

«Ma chère petite âme» : c'est ainsi que très souvent Martin Heidegger commence les lettres qu'il écrit à sa femme Elfride. Ce volume, édité par leur petite-fille Gertrud, contient un septième environ des quelque mille lettres et cartes écrites entre 1915 et 1970 - dont toutes celles conservées entre 1933 et 1938 - avec de brèves notes factuelles permettant de les situer. Compte tenu du cours des choses en France («affaire Heidegger»), il se pourrait que nombre de lecteurs entrent dans cette correspondance armés d'une unique question, dans le genre : «Voyons s'il y a là-dedans du nazisme et de l'antisémitisme.» Cette entrée s'avérera décevante. Car la vraie question, tout à fait portée par la vie du couple telle que ces lettres nous la montrent, est la suivante : Heidegger est certainement un grand philosophe, qui a été aussi, et en même temps, un nazi très ordinaire. C'est comme ça. Que la philosophie s'en débrouille !

Cette correspondance permet d'accompagner de l'intérieur, sur la longue durée, les intérêts de pensée et les sources d'inspiration. Mais la nouveauté la plus éclatante est d'ordre biographique, voire existentiel. Heidegger/Elfride, un couple de l'époque existentialiste ? On est frappé par l'élégance avec laquelle Heidegger accepte le fils adultérin Hermann, dont la brève postface ici même est de l'ordre du coming out. Pour qui, comme Nietzsche, est convaincu qu'en définitive une philosophie est la biographie de son auteur, le portrait de lui-même que Heidegger dessine pour son épouse est clairement déchiffrable comme un éclaircissement des procédures de sa pensée. C'est bien à l'image d'une province catholique allemande et d'un chalet de montagne qu'il faut se représenter l'originel, la patrie, l'accueil ou le lieu. C'est bien à l'image d'Elfride qu'il faut se représenter la sainteté latente de l'autre. Et, inversement, on lit dans le recteur excité, l'intrigant des commissions académiques, le mari dont les infidélités incessantes trament la fidélité, quelque chose qui excède absolument leur apparence, qui les noue de façon intime et puissante à une pensée neuve.

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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 17:24

Univers muet [3]

En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, et ces contrariétés étonnantes qui se découvrent dans sa nature, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à lui-même, et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'y a mis, ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant, incapable de toute connaissance, j'entre en effroi comme un homme qu'on aurait porté endormi dans une île déserte et effroyable, et qui s'éveillerait sans connaître où il est, et sans avoir aucun moyen d'en sortir. Et sur cela j'admire comment on n'entre pas en désespoir d'un si misérable état. [...]


[1] Blaise Pascal, Pensées, 1671. Extrait de Blaise_pascal.jpgPascal, Pensées # 231 et 232, Librairie Générale Française © 2000, page 171. Texte intégral en ligne... (Note: Selon les différentes éditions, la numérotation des Pensées de Pascal varie.)

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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 19:45

La religion de Nietzsche
de Philippe Gaudin, éditions de l'atelier, février 2008, Isbn : 978-2-7082-3984-5, 14, 90 €


Quelle est donc la religion de Nietzsche ? Ce philosophe à la réputation sulfureuse, ne devait guère en avoir ! Et pourtant...
Une fréquentation de son œuvre oblige à faire ce constat : la question religieuse est omniprésente chez lui. Jeune chrétien fervent, Nietzsche se transforme progressivement en pourfendeur quasi obsessionnel du christianisme. Mais il reste attaché à la question religieuse car il pressent qu'elle tient toutes les autres. Son but : anéantir toute trace de christianisme en lui car celui-ci concentre son ressentiment sur la religion de son enfance, période la plus douloureuse de sa vie.
Cette tâche oblige Nietzsche à essayer de rendre compte de la puissance du christianisme en particulier, et de celle de la religion en général. Cela le conduira à définir la religion comme " moralité des mœurs ", structurant la vie psychologique et sociale dans l'histoire. De ce fait, ce qu'il appelle la " mort de Dieu " devient un événement considérable dont les conséquences marqueront le siècle dernier et sont encore à venir.
Nietzsche en effet, a compris que toutes les idéologies qui occuperaient le XXe siècle se dégonfleraient comme des idoles creuses et nous laisseraient face à une aurore énigmatique où se mêlent pour lui la figure du Christ et celle de Dionysos.

by: Johan Grzelczyk

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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 12:37
Heidegger et l'énigme de l'être
Un article de Puf.
 
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Caractéristiques

  • 160 pages
  • 12.00 €
  • ISBN : 978-2-13-053826-4
  • Date de parution : 20/08/2004
  • Discipline : Philosophie
  • Sous-discipline : Philosophie générale

L'ouvrage

Selon Heidegger, la tâche de la philosophie tient entièrement dans un mot "être" que le monde ferait disparaître. La quête de l'Être est en effet ce qui a mobilisé et même hanté le travail philosophique de Heidegger, ce que montre les différentes contributions de ce volume.

Table des matières

Avant-propos par Jean-François Mattéi


I -- Les dérives et la garde de l'être par Pierre Aubenque


II -- Pourquoi réveiller la question de l'être ? par Jean Grondin


III -- La question de l'être : sens de la question et question du sens par Jean-François Courtine


IV -- De l'aletheia à l'Ereignis par Didier Franck


V -- La quadruple énigme de l'être par Jean-François Mattéi

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19 mars 2008 3 19 /03 /mars /2008 18:07

Qu’appelle-t-on penser ?, ouvrage de Martin

Heidegger publié en 1954 . Dans cet ouvrage, on peut trouver entre autres « précisions » sur la pensée : «les

réflexions qui suivent concernent d’une façon générale le chemin qui mène à la tradition de la

pensée. Le meilleur et au fond le seul moyen d’obtenir un renseignement sur ce chemin, c’est

de le faire. Mais il faut presque une vie entière. »

 

 

 

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18 mars 2008 2 18 /03 /mars /2008 00:10
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