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Ecosia : Le Moteur De Recherch

6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 22:27

Phytospiritualité: Alan Watts, un esprit éclectique
Dans le dernier numéro (n°57) de "Nouvelles Clés", Gilles Farcet nous présente un article sur Alan Watts (6 janvier 1915 – 16 novembre 1973), "un des papes ...

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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 17:39
Descriptions du produit
Présentation de l'éditeur
A l'heure où les spiritualités exotiques prospèrent et où l'on vante les vertus des croyances " vécues de l'intérieur ", voici un livre politiquement tout à fait incorrect qui s'appuie sur Jésus, Hegel, Steven Spielberg, Job, Nietzsche, Harry Potter, Staline,
saint Paul, Bill Clinton, Heidegger et quelques autres. Soumettant les diverses formes du religieux aujourd'hui au crible d'un regard lacanien, Slavoj Zizek procède ce faisant à une relecture iconoclaste du christianisme. Au terme d'une analyse délibérément politique, s'il n'hésite pas à dénoncer les tendances perverses du christianisme, il en affirme aussi et surtout le caractère proprement révolutionnaire en mettant au jour son noyau " matérialiste ".

Biographie de l'auteur
Slavoj Zizek, psychanalyste et philosophe, chercheur à l'Institut d'études sociales de Ljubljana (Slovénie), est l'auteur notamment de Plaidoyer en faveur de l'intolérance (Climats, 2004).

Détails sur le produit
  • Broché: 238 pages
  • Editeur : Seuil (23 février 2006)
  • Collection : La couleur des idées
  • Langue : Français

 

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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 16:07
6 avril
 [Trouvé sur le web ]
La psychanalyse n'est-elle pas dépassée par la fin de la répression sexuelle ?

Au contraire. Dans les vieux temps héroïques de la psychanalyse, Freud et ses disciples disaient à leurs patients : « Vous ne pouvez pas jouir à cause des interdits moraux, sociaux, familiaux. Le travail d'analyse permettra de débloquer la situation. » À l'époque plus permissive où nous vivons, la beauté de la psychanalyse consiste à résister à l'injonction de l'idéologie de la jouissance. Le message du psychanalyste contemporain à ses patients n'est plus : « On va vous aider à jouir », mais : « Vous avez le droit de ne pas jouir. » La psychanalyse peut briser cette injonction « surmoïque » et idéologique de la jouissance en disant au sujet qu'il est permis de ne pas jouir.
Slavoj Zizek
 
tarsier1
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4 avril 2008 5 04 /04 /avril /2008 10:27
Livres
Au pas de Handke
Visite. Une journée chez l’auteur de «Par une nuit obscure, je sortis de ma maison tranquille».
Ph.L.
QUOTIDIEN : jeudi 3 avril 2008
Peter Handke-Peter Hamm Vive les illusions ! Traduit de l’allemand par Anne Weber Christian Bourgois, 172 pp, 18 euros. En librairie le 10 avril.
      
 

 

Ce qu’on cherchait vous attend, puis vous surprend. Rencontrer Peter Handke, c’est d’abord s’installer dans une absence, puis oublier d’être utile dans un monde qui vous reproche de ne pas l’être assez. «L’utile lui est étranger, dit Georges-Arthur Goldschmidt (1), qui fut trente ans son traducteur. Son écriture est celle de quelqu’un qui ne se sert pas du monde, mais y vit et le regarde, au sens fort.» On sonne et il apparaît en chemise blanche sur le perron de sa maison, un ancien pavillon de chasse ou de plaisir, sur deux étages, datant du XIXe siècle. Il a plu, tout est vert, quelques odeurs montent. La silhouette est élégante, presque fragile, très légèrement voûtée, saluant à peine ce qui l’entoure. Il a 65 ans et son mouvement évoque cette phrase dite à Peter Hamm dans un nouveau recueil d’entretiens, dont fut tiré un portrait pour Arte : «Laisser apparaître le temps dans ces catégories sensuelles m’a toujours fasciné.» Ce qui est sensuel, c’est ce qui est lent. Peter Handke séduit par manque de rapidité.

 

 
  Sur le même sujet  
   
 

«Sans frontières». Il dit dans ces entretiens : «C’est quand même, je crois, une condition aujourd’hui universelle de l’écrivain, s’il veut continuer à être auteur : être dans la distance et rester solitaire.» Dans cette distance et cette solitude affirmées, il y a l’innocence d’un œil, la puissance d’un auteur, la coquetterie et les meurtrissures d’un homme : celui qui a soutenu la Serbie et Slobodan Milosevic contre l’Europe. On le lui a beaucoup reproché. Certains l’ont jugé comme si son œuvre n’existait pas, puisqu’ils ne l’avaient pas lue. D’autres, comme Georges-Arhur Goldschmidt, semblent simplement peinés (1) : «Handke s’est trouvé pris dans une spirale dont il ne peut plus, et ne veut plus sortir. Le poétique se perd ainsi dans le politique.» La France est un pays plein de morale et l’un des grands écrivains de langue allemande y est soudain tombé dans un trou.

Peter Handke s’est perdu sur pas mal de routes. S’est-il perdu en Serbie ? Il sourit d’un sourire étrange, séducteur et raidi, puis répond : «Pour une fois, j’aimerais bien être politicien et proposer : nous, l’Europe, on ne va plus poser de conditions à personne. Plus de chantage. On ouvre les frontières sans conditions et ensuite, on verra. Dans cette Europe sans frontières, les Serbes, et en particulier ceux du Kosovo, et surtout les jeunes, pourraient sortir et voyager. Dans l’espace yougoslave, c’était possible.»

Son dernier livre publié en Allemagne, la Nuit moravienne, «projette dans dix ans ce fleuve yougoslave, la Morava». Belgrade est pour lui «la seule ville cosmopolite des Balkans : si on fortifie le sentiment d’être traité de manière injuste, on n’obtiendra rien de bon. Il n’y aura plus la guerre - ils sont complètement épuisés -, mais ce n’est pas une paix lumineuse». Il ne renonce à aucune de ses idées, et cela tombe bien, on n’est pas venu pour le lui demander. Songeant à une phrase des entretiens («A quoi ressemble le pays où mon genre de récit peut se situer et s’amplifier ?»), on demande plutôt :

«- Comment fait-on pour écrire sur des lieux qui n’existent pas ?

 

Peter Handke aime marcher, comme Rousseau : «Il avait besoin de marcher pour se purifier. Il était un peu voyou - prétendument voyou. Ma fille est en train de le lire, elle est révoltée par sa manière de frimer avec ses péchés. Mais marcher, avec lire, est la meilleure manière de se purifier. Avec la miséricorde. J’aime bien marcher là où on ne peut pas marcher, au bord des routes. Entrer dans les villes de très loin. Passer, comme en Espagne, du désert à la grande ville, c’est une expérience spirituelle d’aujourd’hui. Ou traverser une autoroute à pied. Ou se déplacer, comme en Serbie, là où personne ne marche jamais, sinon ceux qui ne peuvent plus faire autrement. Mais je marche moins, car j’ai l’impression de connaître : ce n’est pas une belle impression. Penser arrive par hasard, et il faut beaucoup marcher pour qu’une pensée s’installe.» Ceux qui connaissent marchent peu et ne pensent plus.

Quand il parle, Peter Handke a un ton discret, un sourire courtois et une délicatesse princière. Sa violence ne perce la toile qu’à certains moments, comme une tête d’épingle, un ou deux mots très crus, lorsqu’il évoque un écrivain qu’il n’aime pas ou un sujet comme la Yougoslavie. Il a soudain l’air d’un enfant fané dans sa propre rage. Puis la douceur revient et rabat ses plis sur la conversation.

Désert. Il vit à Chaville, dans les Hauts-de-Seine, depuis le printemps 1990. A la gauche d’une route montant vers la forêt, la maison apparaît au fond d’une arche d’arbres, derrière un vieux portail. Elle lui apparut comme une surprise. Peut-être a-t-il éprouvé quelque chose comme ce qu’il décrit dans Essai sur le juke-box : «Sur le paysage régnait en ce moment cette lumière sombre, claire, comme rayonnant d’en bas de la terre qui depuis toujours lui avait donné le cœur de se mettre sur-le-champ à l’écart pour écrire, écrire, écrire - sans objet ou pourquoi pas sur quelque chose comme un juke-box.» Mais, en ce moment, «je n’écris pas».

Dans la grande salle à vivre, il y a partout des lieux où écrire, où regarder : canapés, fauteuils, table, chacun à des hauteurs différentes, face à des fenêtres, des livres, des tableaux, comme différents nids d’inspiration. Dans l’un d’eux, il y a un tableau de Jacques d’Arthois, paysagiste bruxellois du XVIIe siècle : une famille de bergers au bord d’une rivière, en lisière d’une forêt. Tout annonce les feuillages flottant de Corot. «Le tableau m’a été offert par mon seul ami riche», dit l’écrivain. A gauche de l’entrée, un grand panneau de bois bleu venu d’un restaurant chinois représente des voyageurs en barque sur un lac, allant peut-être vers l’au-delà. Sur la table du repas, une carte géographique sert d’écritoire : elle représente le désert des Bardenas Reales, au sud de la Navarre. Non loin, il y a les Essais de Montaigne, qu’il relit, et le livre d’un soufi. Emploi du temps : «Le matin, je lis de l’arabe, mot à mot, et l’après-midi, des contemporains.» En ce moment, il lit A la recherche de John Ford, la biographie de Joseph McBride. La Courte Lettre pour un long adieu y est cité : le livre finissait par une visite imaginaire au cinéaste. Ford selon Handke dit : «Nous ne rêvons presque plus. Et, si oui, alors nous oublions. Nous parlons de tout, aussi ne reste-t-il rien pour les rêves.» Apparaître dans une biographie de John Ford est, dit-il, l’une de ses grandes fiertés. La seconde est d’avoir écrit les paroles d’une chanson de Van Morrison, Song of Being a Child. La dernière est d’être président de l’association allemande des mycologues.

(1) Un enfant aux cheveux gris, conversations avec François Dufay (CNRS éditions, 121 pp., 15 euros).

- Ecrire sur ce qui est, ce n’est pas mon métier. Je l’ai fait une fois, dans le Malheur indifférent, sur ma mère et son suicide. C’était une nécessité, mais, après, je me suis senti comme un faussaire.»

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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 11:32
Sartre comme en lui-même
Existentialisme. Vingt études de Michel Contat sur l’auteur de «l’Etre et le Néant».
ROBERT MAGGIORI
QUOTIDIEN : jeudi 3 avril 2008
Michel Contat Pour Sartre PUF, 584 pp., 30 euros.
      
 
Plus qu’un sentiment, une constance dans les affections, une attitude d’esprit, voire un trait de caractère, la fidélité, comme d’ailleurs l’amour, est un mode de connaissance. Quand on est fidèle, à une personne, à un idéal, à une cause qu’indéfectiblement on défend, à un texte que l’on traduit, on élimine ou néglige, avec le temps, les contingences, les traits secondaires, les variations conjoncturelles, et, ainsi, on se rend capable de saisir «ce qui demeure», le «cœur», sinon l’essence de ce à quoi on est dévoué. En ce sens, Michel Contat, parce qu’il lui a été fidèle toute une vie, est sans doute le meilleur «connaisseur» de Jean-Paul Sartre. Dans le texte pudiquement «autobiographique» qui clôt son Pour Sartre, publié aujourd’hui, Contat dit très simplement ce que lui a apporté de «plus précieux» la «relation singulière et privilégiée» avec l’auteur de l’Etre et le Néant : «Philosophe de la liberté, il m’en avait donné le sens par ses livres et le goût par sa présence. Donc, le sentiment de ma liberté, très vif, il me semble que je le lui dois. Dans la vie quotidienne, il m’a donné de vivre ceci de très rare : l’affection filiale que l’on peut éprouver pour quelqu’un de beaucoup plus âgé et qui n’est pas votre père […]. Depuis sa mort, à force de plonger dans ses brouillons, ses projets inédits, cette prodigieuse machine à créer, j’ai développé un autre sentiment, et qui n’a fait que croître : l’admiration.»

«Lieux».Sartre aurait pu avouer aussi une dette envers «ce jeune homme seul, pas bien réel», qui, en l’été 1959, tout juste bachelier, arrive à Paris de Lausanne, avec «l’idée de visiter les lieux du roman», de parcourir les rues, de Montparnasse au quartier Latin, de Passy à Montmartre, que dans l’Age de raison Mathieu parcourt pour trouver l’argent nécessaire à l’avortement de Marcelle, et qui se rêve parfois en «fils imaginaire de Mathieu-Sartre et de Marcelle-de Beauvoir». Car le jeune étudiant, entré peu à peu dans un rapport de discrète mais profonde familiarité avec le grand homme, puis de confiance totale, et chargé de la tâche de «rassembler sa bibliographie», va acquérir une cognition si fine et de sa vie et de son œuvre - il ne doit pas y avoir une seule ligne de celle-ci que Contat n’ait lue ! - qu’il pourra les encastrer l’une dans l’autre avec la précision d’un orfèvre, les expliquer l’une par l’autre, et, ainsi, offrir à Sartre - c’est-à-dire à ses lecteurs - une fresque de Sartre encore plus fidèle qu’un Sartre par lui-même (1). Il suffirait, pour preuve, de citer le travail proprement éditorial de Contat - entre autres, les Ecrits de Sartre, les Ecrits de jeunesse, tous deux publiés avec Michel Rybalka, ou «La Pléiade» des Œuvres romanesques et du Théâtre, «petit pavé d’éternité» dont il regrette qu’il n’ait pu le «tenir dans ses mains». Mais c’est par sa façon de travailler - comme l’attestent les vingt études réunies dans Pour Sartre - qu’il traduit sa fidélité à l’écrivain et au philosophe existentialiste.

«Eléphant». Nul, plus que Contat, n’a autant essayé, en commentant Sartre, de fuir les extrapolations, les déductions hâtives, les interprétations surdéterminées, les «accaparements» indus, les lectures orientées ou désorientées par la passion politique. Aussi lit-il Sartre à travers Sartre, éclaire en philologue ce que celui-ci écrit par ce qu’il a écrit auparavant, ou écrira, explique ce qu’il dit par ce qu’il a fait ou fera, immergé dans une «situation», et ce qu’il fait par ce qu’il a écrit ou écrira - donnant son sens authentique au genre de la «bio-bibliographie». Depuis près d’un demi-siècle, Michel Contat reste «juché sur la tête de l’éléphant» : il a donc vu tout ce que Sartre a vu, exploré le monde, imaginaire et réel, que les écrits de Sartre ont exploré - et n’a cessé de le donner à voir. Si bien qu’on n’est jamais autant «chez Sartre» que quand on est «chez Contat». Haute fidélité. On se demande d’ailleurs avec qui ou avec quoi il aurait pu tromper «celui qui vous mettait votre liberté entre les mains et vous enjoignait d’en faire quelque chose et d’en répondre, seul, devant le tribunal de l’avenir». Peut-être avec le jazz ou le cinéma…

(1) Titre du film réalisé en 1976 par Alexandre Astruc et Michel Contat.

 

 

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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 10:03

PATOCKA

  VACLAV HAVEL
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2 avril 2008 3 02 /04 /avril /2008 18:20
Jan Patočka
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jan Patočkafoto: Jindřich Přibík
Jan Patočka
foto: Jindřich Přibík

Jan Patočka (1907-1977), était un philosophe tchèque.

Sommaire

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Biographie [modifier]

Il étudie la philologie slave, la romanistique et la philosophie à la Faculté des Lettres de l'Université Charles, puis, effectue plusieurs séjours d'études à Paris, à Berlin et à Fribourg, où il fait la connaissance d'Edmund Husserl, d'Eugen Fink et de Martin Heidegger.

La phénoménologie devient alors l'une des bases de sa philosophie. Il enseigne à la Faculté des Lettres jusqu'à la fermeture des universités tchèques (1939) et de nouveau en 1945-1949, avant d'être expulsé lors des purges de l'université. Il travaillera alors dans diverses institutions philosophiques plus ou moins marginales, avant de retourner à la Faculté, en 1968. Il en sera à nouveau expulsé en 1971. En 1977, il signe la Charte 77 et devient, avec Jiri Hájek et Vaclav Havel, l'un de ses premiers porte-paroles. S'en suit une persécution policière constante. Après un interrogatoire particulièrement difficile, Patocka doit être hospitalisé et meurt d'une hémorragie cérébrale le 13 mars 1977.

Selon les mots de Paul Ricoeur, Jan Patočka fut « littéralement mis à mort par le pouvoir ».

Philosophie

Dans son œuvre philosophique, Jan Patočka renoue avec la tradition représentée par J. A. Comenius, Tomáš Masaryk et Edmund Husserl, liée à un effort d'ancrer la dimension morale de l'homme dans une époque qui nie cette dimension. Il part de la phénoménologie de Husserl en la modifiant à partir de l'ontologie de Heidegger. Il se concentre sur l'analyse du "monde naturel" (Le Monde naturel en tant que problème philosophique, Přirozený svět jako filosofický problém, 1936, 1970, 1992), cherche ses bases métaphysiques et étudie la dépendance mutuelle et la cohésion de l'existence humaine et du monde.

Enfin, il aboutit à une philosophie phénoménologique, concevant l'existence dans l'esprit de trois mouvements existentiels de base : le mouvement d'auto-ancrage (l'homme accepte la situation dans laquelle il se trouve, et est accepté en tant qu'homme par les autres), le mouvement du débarassement de soi par le prolongement - mouvement du travail, du gagne-pain (l'homme ne prête son attention qu'aux choses qui peuvent lui être utiles, qui « prolongent » ses possibilités, il considère les autres ainsi que soi-même comme un objet de bénéfice qu'il est possible de manipuler) et le mouvement de la découverte de soi (l'homme dépasse le monde de l'immédiatement donné et réussit à rapporter au monde en tant que tout, il refuse de vivre une vie de consommation anonyme, il est conscient de sa nature mortelle et de la responsabilité de sa propre vie qui le porte au « soin de l'âme » platonicien comme à la chose la plus importante qu'il doit s'efforcer de remplir.)

Livres

Přirozený svět jako filosofický problém, Prague, 1936

  • Aristoteles, jeho předchůdci a dědicové, Prague, 1963
  • O smysl dneška, 1969
  • Kacířské eseje o filosofii dějin, Prague, 1975 (Samizdat)
  • Negativní platonismus, 1990
  • Platón. Přednášky z antické filosofie, 1991
  • Tři studie o Masarykovi, 1991
  • Evropa a doba poevropská, 1992
  • Úvod do fenomenologické filosofie, 1993
  • Tělo, společenství, jazyk, svět. Conférences 1968-69, 1995

En français
Le monde naturel comme un problème philosophique. Tranduit par Jaromír Danek and Henri Declève. The Hague: Martinus Nijhoff, 1976.
  • Essais hérétiques sur la philosophie de l'histoire. Traduit par Erika Abrams. Lagrasse: éditions Verdier, 1981.
  • Plato et l'Europe. Traduit par Erika Abrams. Lagrasse: éditions Verdier, 1983.
  • La crise du sens, tome 1, Comte, Masaryk, Husserl. Traduit par Erika Abrams. Brussels: éditions Ousia, 1985.
  • La crise du sens, tome 2, Comte, Masaryk et l'action. Traduit par Erika Abrams. Brussels: éditions Ousia, 1986.
  • Le monde naturel et le mouvement de l'existence humaine. Édité et traduit par Erika Abrams. Dordrecht: Kluwer Academic Publishers, 1988.
  • Qu'est-ce que la phénomenologie. Édité et traduit par Erika Abrams. Grenoble: J Millon, 1988.
  • L'écrivain, son "objet". Édité et traduit par Erika Abrams. Paris: P.O.L. 1990.
  • Liberté et sacrifice. Ecrits politiques. Édité et traduit par Erika Abrams. Grenoble: J. Millon, 1990.
  • L'idée de l'Europe en Bohême. Traduit par Erika Abrams. Grenoble: J. Millon, 1991.
  • L'art et le temps. Édité et traduit par Erika Abrams. Paris: P.O.L., 1992.
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2 avril 2008 3 02 /04 /avril /2008 17:57
Découvrir Vaclav Havel (par Bernard Ginisty) [11/01/2005]

Après la lecture des “Essais politiques” de Vaclav Havel, je voulais partager avec vous ces écrits majeurs, d’une lucidité incroyable non seulement sur ce qu’a vécu en son temps le bloc soviétique, mais sur ce qui se joue au sein même de nos démocraties.
Je m’apprêtais à rédiger un article à ce propos, lorsque j’appris de Bernard Ginisty qu’il en avait écrit un pour la revue Terre du Ciel. Cet article est si bien rédigé, si complet, que j’ai sollicité son accord pour le mettre sur mon site.

Olivier Clerc

 

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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 22:21
 
Tenzin Gyatso
Nom de naissance Lhamo Dhondrub
Nom de réincarnation Jetsun Jamphel Ngawang Lobsang Yeshe Tenzin Gyatso
Prédecesseur Thubten Gyatso
Successeur  
Date de naissance 6 juillet 1935
Lieu de naissance Taktser, Tibet, Amdo
 
 
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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 18:30
   
Le Concept de Monde Chez Heidegger
paALTER r Walter Biemel
Edition : Reliure inconnue
Prix : EUR 26,60
 
Disponibilité : En stock




CRITIQUE LECTEUR :
   

 
5.0 étoiles sur 5 C'est magique, on comprend!, 26 juin 2007 .Un exemple rare, on y croyait plus. Il est possible d'écrire simplement sur une pensée difficile et sans paraphraser le grand Maitre. Que ça se sache! Enfin quelqu'un qui n'est pas atteint de psittacisme maladie courante chez les phénoménologues et les psychanalystes particulièrement les lacaniens!

Une excellente introduction à "être et temps" avec quelques ouvertures sur le "tournant". Découvrez Heidegger sans trop de douleur!
 
 
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