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Ecosia : Le Moteur De Recherch

25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 08:35
25 novembre
514XHYDBADL__SS500_Présentation de l'éditeur
Les chroniques que S. Jay Gould publie depuis plus de vingt ans dans le Natural History Magazine ont sans doute fait davantage pour expliquer la théorie de l'évolution que des montagnes d'ouvrages savants.
L'étonnant mélange "gouldien" de science, d'histoire et de littérature a passionné les lecteurs du Sourire du flamant rose ou de Quand les poules auront des dents. Avec Darwin et les grandes énigmes de la vie, ils découvriront le premier recueil de cette série de chroniques où la palourde pêcheuse, l'élan d'Irlande et le bambou qui fleurit tous les 120 ans témoignent des bizarreries de l'évolution, tandis que les arguments racistes, le déterministe biologique ou la notion de quotient intellectuel illustrent les errements auxquels peut mener son interprétation.
Un inimitable cocktail, conçu par l'auteur comme "un antidote à notre arrogance universelle".
 
 
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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 07:51

dimanche 23 novembre 2008

Alan Watts : Conversation avec moi-même
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"Il faut que nous revenions à, disons, une vision de notre propre vie qui représente ce que nous sommes réellement ; un organisme fonctionnant dans la totalité de l’environnement, avec l’environnement entier, à la place de cette petite personnalité séparée.

Mais comment allons-nous faire cela ? Les gens disent : « Et bien, on ne peut pas changer la nature humaine du jour au lendemain. Vous nous demandez d’abandonner l’ego et c’est la plus difficile des choses à faire ». En fait, ça ne l’est pas, parce que l’ego n’existe pas mais bien sûr, si vous essayez d’abandonner votre ego avec votre ego, ça vous prendra jusqu’à la fin des temps.

Parce que voilà ce qu’il faut vraiment comprendre : Vous ne pouvez pas vous transformer, vous ne pouvez pas vous rendre sain, vous ne pouvez pas vous rendre bon, vous ne pouvez pas vous rendre non-égoïste et pourtant il est absolument nécessaire que nous soyons ainsi. C’est absolument nécessaire si nous voulons transmettre la direction de nature à nature, ce à quoi tout ceci revient en fait. Il est absolument nécessaire que nous abandonnions notre identité et cela ne peut pas se faire, par quoi que ce soit que nous appelions faire, agir, vouloir ou même juste en acceptant les choses. Vous ne pouvez pas y arriver.

Pourquoi ? Parce que vous n’existez pas vraiment en tant qu’ego séparé ou en tant que personnalité. C’est juste une idée fondée sur un sentiment erroné. Et c’est une nouvelle terrible pour nous que d’apprendre cela. C’est terrible pour l’humanité, pour notre fierté.
Vous ne faîtes que plus de désordre en essayant d’arranger les choses. Vous essayez de redresser un monde qui ne cesse de bouger et ce n’est pas étonnant que vous soyez en difficulté ! Donc vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez pas vous transformer.

Qu’est-ce vous pouvez faire alors ? Que se passe t-il si vous vous rendez compte que vous vous trouvez dans une impasse, et l’humanité se trouve dans une impasse selon moi. Que faire alors ? Se suicider ? Ou bien y a-t-il autre chose ? Que se passe t-il lorsque vous attendez simplement ? Il n’y a rien que vous puissiez faire. Vous regardez. Et tout ce que vous voyez est ce qui se produit par soi-même. Vous respirez, le vent souffle, les arbres bougent, votre sang circule, vos nerfs ressentent. Tout se produit automatiquement. Mais vous savez que c’est vous, que c’est votre véritable nature qui se produit d’elle-même. Ce n’est pas le symbole, ce n’est pas la personne, c’est vous comme lorsque que vous respirez. Il est vrai qu’on peut avoir le sentiment que je respire en contrôlant la respiration, mais votre respiration continue à longueur de journée sans vous fassiez quoi que ce soit, sans même que vous y pensiez. De même que votre cerveau fonctionne sans que vous le forciez.

Donc lorsque vous vous trouvez dans une impasse, et nous sommes individuellement et socialement dans une impasse aujourd’hui, vient le moment où il est dit « Quand l’homme en est réduit à sa dernière extrémité, Dieu a enfin sa chance ».

Parce que nous devons arrêter, et quand nous arrêtons, nous trouvons un monde qui se produit plutôt qu’un monde que l’on fait, que l’on façonne. Le déroulement par opposition à l’action est notre Soi véritable, et notre Soi fondamental n’est pas juste quelque chose à l’intérieur dans notre corps, c’est tout ce qui nous entoure et à quoi nous nous connectons. Quand vous regardez la nature autours de vous avec vos yeux, c’est vous que vous regardez. Je ne vais pas dire ce que nous devrions faire à présent, mais simplement, qu’avant de songer à faire quoi que ce soit, nous prenions conscience de la nature totalement illusoire des créatures que nous pensons être et que nous revenions aux êtres que nous sommes réellement, ce qui inclue tout ceci (Alan Watts montrant la nature tout autours) : le monde extérieur qui n’est plus laissé à l’extérieur."

Traduit spécialement de l’anglais pour le ipapyblog par Olivier Anton
à partir de vidéo sur Youtube. Merci ami Olivier c'est un beau cadeau!
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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 12:44

Les citations de Valéry Larbaud

«La gloire n'est qu'une des formes de l'indifférence humaine.»
[ Valéry Larbaud ] - Ce vice impuni, la lecture

«La botanique qu'on nous apprend est peut-être une science inventée exprès pour exercer l'esprit des écoliers ? Qui sait si le latin n'est pas une grande supercherie pédagogique ?»
[ Valéry Larbaud ] - Enfantines

«Triste mot : touristes. Les étrangers, séparés de la vie du pays par la couche atmosphérique qu'ils transportent avec eux : habitudes, intérêts, bavardages de leur ville, jargon de leur secte.»
[ Valéry Larbaud ] - Mon plus secret conseil...

«Ah ! Gardons le plus longtemps possible la pitié, c'est le plus bel assaisonnement de la vie pour nous autres milliardaires.»
[ Valéry Larbaud ] - Propos de table et anecdotes de Monsieur Barnabooth

«Nous avons beau faire, nous ne pouvons pas être absolument naturels, et nous n'avons pas grand avantage à l'être.»
[ Valéry Larbaud ] - Extrait des Amants

«Ce qui nous rebutait le plus dans nos études, c'était l'inutilité de nos travaux. Toujours s'exercer et ne jamais rien faire.»
[ Valéry Larbaud ] - Enfantines

«La femme est une grande réalité, comme la guerre.»
[ Valéry Larbaud ] - Extrait d' A. O. Barnabooth

«On croit pardonner, et ce n'est que faiblesse.»
[ Valéry Larbaud ] - Extrait d' Amants, heureux amants

«L'art est encore la seule forme supportable de la vie ; la plus grande jouissance, et celle qui s'épuise le moins vite.»
[ Valéry Larbaud ] - Extrait d' A.O. Barnabooth

«Ne rien trouver ridicule est le signe de l’intelligence complète.»
[ Valéry Larbaud ] - A.O. Barnabooth

«Les liaisons commencent dans le champagne et finissent dans la camomille.»
[ Valéry Larbaud ] - Les poésies de A. O. Barnabooth

«Je n'ai jamais pu voir les épaules d'une jeune femme sans songer à fonder une famille.»
[ Valéry Larbaud ] - Les Poésies de A. O. Barnabooth

«Et où que j’aille, dans l’univers entier, Je rencontre toujours, Hors de moi comme en moi, L’irremplissable Vide, L’inconquérable Rien.»
[ Valéry Larbaud ] - Les Poésies de A. O. Barnabooth

«Vous connaissez le dicton français : noblesse oblige. Eh bien, c'est toute la définition de la noblesse : elle oblige et ne fait pas autre chose.»
[ Valéry Larbaud ] - Les Poésies de A. O. Barnabooth

«La bêtise a ceci de terrible qu’elle peut ressembler à la plus profonde sagesse.»
[ Valéry Larbaud ] - Fermina Marquez

«Mais j'aimais le goût des larmes retenues, de celles qui semblent tomber des yeux dans le coeur, derrière le masque du visage.»
[ Valéry Larbaud ]

«J’ai des souvenirs de villes comme on a des souvenirs d’amours.»
[ Valéry Larbaud ]

«Tout idéal, dès qu'il est formulé, prend un aspect désagréablement scolaire.»
[ Valéry Larbaud ] - Jaune, bleu, blanc


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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 12:08
Culture et Identité Bretonne > MORT DE JEAN MARKALE
MORT DE JEAN MARKALE
J’ai bien connu Jean Markale à l’ancien Kêrvreizh, lors de ses conférences sur la “Femme celte”, le “Roi Arthur” etc... Il avait été nommé aussi “disciple d’honneur” du Cercle Maksen Wledig”. “Disciple d’honneur” parce qu’il n’avait pas appris le néo-breton. Jean Markale était devenu peut être un “vulgarisateur”, mais extrêmement compétent sur la matière celtique en langue française. Ce qui fait que la “présence celtique” fait partie de notre quotidien actuellement. Il avait parfaitement bien compris la mythologie celtique, l’univers mental de nos ancêtres, leur vision du monde, intuitivement, dans les détails. Jean Markale était un idéaliste, comme beaucoup de camarades de cette bonne cuvée 1928 qui furent aussi mes maîtres...

Il y a quelques années, après une rencontre devant la Gare Montparnasse, il était venu à Kervreizh me parler de l’”Idéal” chez les Celtes. Ceci en rapport avec les gravures dans la pierre qui leur servaient d’antenne pour capter les idéaux en se mettant en relation avec l’ au-delà!... Cette captation des idéaux permet aussi d’expliquer pourquoi des hommes de civilisations différentes ont capté des choses très similaires qu’ils ont rendues dans des formes différentes.

Quand on étudie les symboles comparés, on se rend compte que derrière des apparences esthétiques diverses, donc des personnalités diverses, on retrouve des principes, des enseignements très proches. Ceci parce qu’il y a eu dans chaque groupe humain des gens qui ont su s’élever au-dessus de leurs personnes pour capter l’Idéal. C’est la captation consciente de l’Idéal et la possibilité de l’appliquer qui nous distingue de l’animal.

Avoir un Idéal, orienter sa vie pour le capter et le servir est le signe distinctif de l’humain. Les hommes étant des capteurs d’idéaux, ils essaient aussi de capter leur transcendance, donc leur propre triade, (Être, Esprit) qui est l’Idéal qu’ils portent et cela leur fait penser qu’ils ont un destin autre que celui de la simple temporalité vulgaire. C’est ainsi qu’ils deviennent idéalistes. Au départ, l’idéaliste est un être sensible, affectif, émotionnel.

L’idéaliste est d’abord un affectif. Les sentiments du Beau, du Bon, du Juste qui font partie de l’émotionnel permettent de capter un Idéal. Mais ensuite, la vie amène l’idéaliste à s’éprouver en tant que tel. Il peut alors savoir s’il pourra aller au-delà de ses sentiments ou émotions du moment. Il pourra savoir s’il peut devenir un idéaliste confirmé, c’est-à-dire quelqu’un qui n’a pas seulement des sentiments... Il aura une démarche pour construire l’”antenne”, dont me parlait Jean Markale, et commencer à l’appliquer sur sa propre personnalité.

Pourra-t-il mettre les moyens pour appliquer l’enseignement des grands principes ? Là, nous ne sommes plus simplement devant un idéaliste mais devant un disciple, un “Emsaver” avec une démarche volontaire, une discipline, une méthode, un travail, indépendamment des hauts et des bas. C’est un choix mental et pas seulement affectif ; cela ne veut pas dire que l’affect n’y est pas. C’est être conscient, honnête avec soi-même, se regarder pour se modifier.

Un Idéal, politique ou philosophique, ne peut être utile qu’à un idéaliste. C’est avec les yeux de l’idéaliste et la pratique du disciple que cet Idéal sera utile. Sinon, il restera lettre morte, utopie, fantaisie. Donc, quand nous parlons d’Idéal politique, nous nous adressons aux idéalistes et aux disciples qui veulent s’éprouver dans l’application concrète. Donc, il faut d’abord éveiller l’idéaliste, ensuite construire le disciple l’”Emsaver” pour pouvoir véritablement agir par rapport à un Idéal. Sinon, il est dangereux d’agir selon un Idéal. Tout devient raide car il n’y a pas de captation.

L’Idéal est une finalité qui détermine un chemin, une ligne de tension de la conscience entre son siège naturel et le siège supérieur qu’elle s’est choisi, car la conscience spirituelle tend à s’identifier à l’Idéal.

Jean Markale l’idéaliste, laissera un grand vide pour tous ceux qui sont soucieux du futur. Il apportait beaucoup de lumière, beaucoup de réponses à de nombreuses interrogations contemporaines. L’Idéal est comme une étoile qui oriente vers une direction. C’est un axe qui nous permet de relier notre personnalité à la triade de notre esprit. C’est une ligne de tension à double sens, vers le haut et vers le bas.

Un Idéaliste est un Etre qui demeure dans une dimension supérieure à celle de notre conscience courante. Si nous mettons notre âme sur la pointe des pieds et si nous la projetons vers le haut, d’un bond, nous parvenons à entrevoir l’Idéal de façon plus ou moins fugace. L’Idéal est le modèle céleste qui appelle et réclame de son ombre terrestre une perfection toujours plus grande afin de lui ressembler le plus possible !...

A bientôt, Jean Markale !...

Yann-Ber TILLENON.
YannBerTILLENON Ajouté le 23/11/2008 à 21h08

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 08:55
Nécrologie. Jean Markale un passionné de celtisme

Auteur d’une centaine d’ouvrages, notamment sur les Celtes, Jean Markale est mort hier matin, à l’hôpital d’Auray. Il avait quatre-vingts ans.

De son vrai nom Jacques Bertrand, Jean Markale avait, avant de se lancer dans l’écriture, exercé, pendant vingt-cinq ans, le métier de professeur de lettres classiques dans un collège parisien. Mais, en 1979, fort de son succès avec « La femme celte » (Payot), il avait arrêté l’enseignement et était venu s’installer à Camors, près d’Auray, le pays de ses ancêtres. C’est là qu’il écrira, à une cadence pour le moins soutenue, tous ses livres. Ses grandes spécialités : les Celtes, le mythe du Graal, l’histoire de la Bretagne, l’ésotérisme et les énigmes historiques. Autant de thèmes qu’il a développés à satiété et exploités sous différentes formes, en particulier à travers des « cycles » qui lui permettaient de laisser libre cours à sa verve épique et à son imagination.
Poète plutôt que chercheur
Son manque de rigueur scientifique était, d’ailleurs, le reproche que lui faisaient ses nombreux détracteurs. Mais Markale s’en moquait : « Je préfère être considéré comme poète plutôt que comme chercheur », assurait-il. En 1998, il avait reçu le prix Trévarez pour son premier roman, « Notre-Dame de la Nuit ». Un genre dans lequel il envisageait de poursuivre. Mais il avait finalement repris le sillon qu’il avait creusé et qui lui réussissait : la civilisation celtique et le Graal. Coïncidence troublante : Jean Markale s’est éteint une semaine seulement après la mort de son ami Charles Le Quintrec, qu’il avait connu dès 1948, à Paris. La maladie l’aura ainsi empêché de respecter le pacte que tous deux avaient passé : le survivant devait prononcer l’éloge funèbre du premier décédé !

Yves Loisel

 

 

Photo archives Y. L.
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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 08:36
Décès de Jean Markale
L'écrivain était spécialiste des civilisations celtiques et de leur mythologie.

Jean Markale (de son vrai nom : Jacques Bertrand) est décédé le 23 novembre, à Auray, dans le Morbihan. Il était âgé de 80 ans. Il laisse une oeuvre d'une centaine d'ouvrages, consacrés pour l'essentiel aux civilisations celtiques, avec en particulier : Le Cycle du Graal, et Les Contes et légendes des pays celtes. Cet intérêt pour le celtisme remontait à son enfance, qu'il avait passé dans la forêt de Brocéliande, en Bretagne, lieu mythique où la tradition pose la légende du Roi Arthur. Lire aussi ce billet par Yann-Ber Tillenon.





















par JMP le 23/11/2008
Toute l'actualité pour Auray
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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 19:36
Dans le Droit fil des vérités

« Ce livre s'adresse aux débutants, quel que soit leur âge. » En ces temps où le développement personnel explose tous azimuts grâce à une pléthore de livres et de revues plus ou moins bien bricolés et qui promettent tout le bonheur du monde à celui qui veut bien y croire, voilà le genre d'avertissement qui peut semer le doute chez le lecteur sur le contenu qui va suivre. Mais quand l'ouvrage est signé Roger-Pol Droit, on peut embarquer pour l'aventure avec confiance. Et l'on n'est pas déçu. Dans une introduction d'une grande clarté, l'auteur de cette Brève histoire de la philosophie explique la tâche des philosophes qui, non seulement doivent avoir des idées, mais encore - et c'est leur spécificité - se donnent pour mission de « mettre ces idées à l'épreuve, de les passer au crible et de les examiner pour savoir si elles sont solides ». Roger-Pol Droit convie ensuite son lecteur à partir à la découverte des vérités recherchées, découvertes et décortiquées par une vingtaine de philosophes, depuis Platon jusqu'à Nietzsche. Une fiche synthétique inaugure chacun des articles qui sont tous exempts - Droit l'avait promis dans son introduction - d'un vocabulaire inutilement compliqué « car il est possible d'exposer des questions complexes avec des mots simples ». Promesse tenue, donc, même pour des philosophes aussi difficiles d'accès que Kant ou Hegel.
Autre actualité pour l'auteur de l'excellente Compagnie des philosophes (Odile Jacob, 1998) : la sortie de L'Occident expliqué à tout le monde. Par une série de questionnements, Roger-Pol Droit cerne, toujours avec limpidité, cet Occident rongé de façon récurrente par un « auto-scepticisme ». Un Occident qu'il faut malgré tout défendre sous certaines conditions dont nous laissons au lecteur le plaisir de la découverte.

 

PmGallais
De Roger-Pol Droit : « Une brève histoire de la philosophie », Flammarion, 320 pages, 19,90€ ; « L'Occident expliqué à tout le monde », Seuil, 110 pages, 7€.
Édition du Dim 23 nov. 2008
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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 09:59
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 16:18

 

Pour échapper à l'improbable récit des commencements, par Isabelle ...
Le Monde - Paris,France
Heidegger le détermine comme essence et dévoile, par exemple, ce sans quoi l'art ne serait pas art mais autre, chose du monde ou objet technique. ...
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 15:45

 

 

 

PENSEES CELTES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Pensées celtes extraites du livre "Paroles Celtes" aux éditions Albin Michel.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je suis fils de Poésie,

Poésie, fille de Réflexion,

Réflexion, fille de Méditation,

Méditation, fille de Savoir,

Savoir, fils de Recherche,

Recherche, fille de Grande Connaissance,

Grande Connaissance, fille d'Intelligence,

Intelligence, fille de Compréhension,

Compréhension, fille de Sagesse,

Sagesse, fille des trois dieux de Dana.

 

Colloque des deux Sages

 

 

 

 

 

 

 

Avant de parler, considère :

premièrement ce que tu dis,

deuxièmement pourquoi tu le dis,

troisièmement à qui tu le dis,

quatrièmement de qui tu le tiens,

cinquièmement ce qui résultera de tes paroles,

sixièmement quel profit en découlera,

septièmement qui écoutera ce que tu diras.

Mets alors tes paroles sur le bout de ton doigt

et tourne-le de ces sept manières avant de les exprimer :

aucun mal ne résultera jamais de tes paroles.

 

Les Dictons du sage Cadoc

 

 

 

 

 

 

Il y a trois principaux états pour les créatures animées.

Le premier est celui d'Annwfn (Abîme) où fut leur origine.

Le deuxième est celui d'Abred (Existence) qu'elles doivent traverser dans le but de s'instruire.

Le troisième est le Gwynfydd (Monde Blanc) où elles aboutiront toutes dans l'accroissement indéfini du Pouvoir, de la Connaissance et de l'Amour jusqu'à ce qu'il ne soit plus possible d'en acquérir davantage.

 

Llewelyn Sion,
Triades de l'île de Bretagne

 

 

 

 

 

 

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