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Autrement dit, au chapitre Humilité, pp. 84-86 :
“Prendre la parole, écrire et publier, ce ne serait plus, alors, contredire cette « humilité », mais, en quelque manière, s’expliquer avec elle, se livrer à son mystère. Ce serait se convaincre que la liberté intérieure, de pensée et de parole, n’est pas d’abord une conquête dont on peut jouir selon sa fantaisie, mais un devoir — pour autant qu’on le rapporte à la source dont je parlais. Elle est aussi, cette liberté, une manière de miracle, une grâce.”
© Ronald Klapka _ 13 septembre 2009
